Les tempêtes de la lande

Texte supprimé

enfin, dans la grotte on sait qui y habite donc elle est pas encore sauvé^^
j'attends la suite


pour cette phrase

jeune fille se mit à griffer et lacérer les ronces si dangereuses, lorsqu’à sa stupéfaction, le buisson bascula, laissant voire un petit repli dans la roche
Un peu de son moral revint lorsqu’elle s’aperçut que le repli était en fait une petite grotte

c'est pas plutot les ronce qui devrait la griffer?

pas mal dut out ^-^
seule phrases qui me choque (a part celle dites par dadadele ) c'est la denière ...
je sais pas pourquoi j'aime pas l'expression
elle fit un sourire ...
je sais pas je préfère les choses du genre :
Elle eu un léger sourire puis... s'évanouit.

enfin ce n'est que mon stricte avis ^-^ je suis ^pas un pro

Mêmes remarques que les autres.
Pour nous permettre de mieux juger, donne-nous la suite !

Et hop !
La suite :
Torak sortit pour aller accomplir ses tâches coutumières. Il y avait tant à faire après une tempête pareille ! Il commença par sortir les bêtes puis il dut faire des provisions de bois, ensuite il fallut qu’il exécute un certain nombre de besognes variées... Avant que ce soit enfin l’heure de la pause, et qu’il puisse aller dans sa cachette secrète. Depuis qu’il l’avait découverte par hasard il y a quelques années, c’était devenu sa retraite favorite. Au fil des ans, il l’avait aménagée, camouflée embellie... Si bien que maintenant, il y entreposait ses maigres biens, à l’abri de la tempête et de la curiosité. Il pensa un juron : son camouflage avait été lacéré de toutes pars. La tempête n’avait pas pus faire un tel désastre, il avait été détruit par une main humaine. Mais qui ?
Lorsqu’il pénétra dans sa grotte, il y avait quelqu’un par terre. Une jeune fille d’une douzaine d’années à la peau pâle, dont la finesse des traits n'avait rien en communs avec l'air paysan des Septiens. Elle parlait, prononçait des phrases incohérentes. Ses vêtements étaient en lambeaux, et elle ne faisait pas un geste. En l’examinant, il s’aperçut qu’elle était évanouie et qu’elle cauchemardait à haute voix. Surmontant son étonnement, il fit un feu et la recouvrit de son manteau.
Au bout de quelque minute, ses muscles se détendaient et son délire se calmait. Mais d’inquiétantes traces bleues lui recouvraient le visage, et sa jambe saignait. Avec mille précautions, il pansa la blessure et appliqua une pommade sur les meurtrissures. Elle avait repris des couleurs et respirait paisiblement, mais son état restait critique. Il su, rien qu’en la regardant, qu’elle ne pouvait passer la nuit seule.
Mais à quoi bon risquer la colère de son oncle en passant la nuit dehors pour une parfaite inconnue ? C’est en la regardant qu’il réalisa qu’il ne devait pas la laisser périr. Pourquoi ? Le jeune homme ne savait pas. Simplement, il ne le devait pas.
Il s’assit à côté de la belle inconnue, s’assura qu’elle allait bien, lui remit de la pommade. Puis, il tenta de trouver un indice, une trace qui aurait pu le renseigner sur l’inconnue.
Ses doigts délicats était dépourvus des meurtissures infligés par le travail manuel. Sa robe était faite d’un tissu coûteux, mais ne ressemblait pas aux parures somptueuses et couvertes de fanfreluche des nobles. Son visage était pâle et grave. Elle lui faisait penser à une fragile figurine de porcelaine. Il glissa à son tour dans un sommeil réparateur.
Lorsque Eréva ouvrit les yeux, il faisait jour. En tournant la tête elle vit un jeune homme qui s’affairait près d’elle. Il ne s’était pas aperçu de son réveil. Elle toussa. Il se retourna et la salua à l’ancienne, la main posée sur le coeur. Ils restèrent un instant muets, intimidés. Finalement, elle commença :
- Je m'appelle Eréva, je viens de...très loin
Il ne put masquer un geste de surprise, mais se reprit très vite.
Non, se dit il, aucun rapport. Elle est trop... Il refusa d'aller au bout de sa pensée et chassa de son esprit tout soupçon. Il n'y avait qu'à voir la bauté fragile et réveuse de la jeune fille pour comprendre qu'elle n'avait aucun raport avec la légende. Mais pourtant, ce nom...
- J’ai été surprise par la tempête.
Elle parlait dans la langue officielle de Weltum, et il remarqua son accent indéfinissable qui le fit rêver à des pays lointains et mystérieux.
Mystérieux...et maudits souffla une voix dans sa tête.
- Mais au fait, comment t’appelle tu ? C’est toi qui m’as sauvé ? On est où là ?
Désorienté par ce flot de question, il traça du doigt dans la poussière qui recouvrait le sol :
TORAK
-Torak ? C’est ton nom ? Tu es…muet ?
Il acquiesça d’un signe. Oui, il était muet. Il découvrit sa gorge, laissant voir une longue cicatrice blanchâtre. Il aurait voulu lui expliquer coment mais c'était trop long à écrire. Elle s’empressa de le rassurer :
- Ca ne me dérange pas, je suis juste… Etonnée
En véitée, la jeune fille était bouleversé. Torak était infirme, il ne pourrait jamais l'aider. Elle ne regagnerais jamais son peuple....
Une vague de déséspoir la submergea, et elle se laissa tomber sur un rocher. Torak s’approcha d’elle anxieux. Elle lui fit un pauvre sourire tandis que son cerveau réflchissait à toute allure. Elle finit par dire :
- Je suppose que tu dois te demander qui je suis et ce que je fais la. Sache que je suis la fille d’un puissant mage de la ville des temps. Je suis née pendant la terrible guerre des tempêtes et j’ai probablement été propulsée ici par un maléfice... Hier, j’étais dans une caravane qui devait m’envoyer loin des hostilités, et quelques heures après, je me suis retrouvée seule dans une lande déserte. Subitement, le ciel a pris une teinte violette et...
Sur son visage se peignit une tristesse qui n'était pas feinte.
-Je veux rentrer chez moi.

Heu...Vous voulez peut-être que j'arrète...
Ca n'a pas l'air de vous plaire...

pas mal juste :
dans sa cachette secrète : une cachette est automatiquement sercette ^^

Une jeune fille d’une douzaine d’années à la peau pâle, dont la finesse des traits prouvait qu’elle n’était pas d’ici. : je préférerais : dont la finesse des traits démontrait ses origines étrangères ^^


Elle lui faisait penser à une fragile figurine de porcelaine. Il s’endormit.: se serais mieux un truc du genre : Et observant la visage paisible de la belle endormie, il l'a rejoint dans le pays des songes.


je me suis retrouvéE


voilà juste ça ^^
moi le mien est plein de faute aussi XD

pas mal, pas mal. Je pense que tu devrais creuser le moment où Ereva se réveille la première fois devant Torak, et je suis d'accord avec Hime^^

creuser ??? C'est à dire ??? Et son nom c'est Torak ^^

eh bien que tu devrais retravaillé , améliorer, travailler sur les sentiments épprouvés

ça peut se faire....

^-^

Et c'est fait !!
Maintenant on voit Eréva sous un jour plus sombre...

j'aime bien !

oups oui Torak, désolée je pensais au livre de Mourlevat =)

pas mal! la suite!

juste un petit défaut :
Il s’assit à côté de la belle inconnue, s’assura qu’elle allait bien, lui remit de la pommade. Puis, il s’assit près d’elle et tenta de trouver un indice, une trace qui aurait pu le renseigner sur l’inconnue.

tu te répètes...

Vite la suite! (tien moi aussi^^)

Je corrige tout de suite...

Je met la suite ? Ou ça ne vous interresse pas ??? (il faut dire que je viens de me faire jeter à la tête cette histoire par mon prof de Français "revenez parmi nous Hélène"en bien gros sur la feuille. Le sujet c'était "faites une description phisyque et moral d'un personnage de votre invention" J'ai mis celle d'Eréva en plus aprofondie...Vous la trouvez si catastrophique vous ???

non! peut etre voulait il que se soit réaliste. Meme si il ne désire pas la suite, nous on la désire!
(c'est il??)

non, moi je la trouve bien ta description ton (ta) prof de français est un con na ! et oui je VEUX la suite !

rooh merciiii !!!!
Je vous la met se soir ou demain la suite.

on est presque ce soir .... la suite

Texte supprimé

j'adore ^-^
je n'ai pas fait attention aux fautes s'il y en a ... mais j'aime beaucoup beaucoup ...

on découvre l'autre personnage et sa douleur d'être muet, et on apprend qu'elle est loin de chez elle, puis toujours cette légende inconnue^^ La suite la suite^^