Un peu d'amour, s'il vous plait!

J'ai une histoire à partager, comme on en connait chacun des milliers,
mais elle est si belle et si pure que je voulais vous la conter.
Je ne sais plus où ni quand, je me souviens juste d'une femme, si belle que les anges s'inclinaient devant elle. Elle était la Reine Amère, Myriam, mais vous la connaissez mieux, sous le nom de Marie. Son enfant a une histoire merveilleuse, mais que d'autres conteront mieux que moi, celle que je veux éclairer, c'est Myriam.
Un jour qu'il faisait chaud, elle travaillait à son métier à tisser, quand un vieil homme tombe devant la porte. Elle a beaucoup de travail, et pourtant, elle pose sa quenouille, elle se lève, s'approche de l'homme. elle sait qu'il va mourir, cela se lit dans ses yeux, s'entend dans sa respiration. elle pourrait le laisser partir, et retourner à son travail, pourtant, elle reste là, à genoux, sa main dans celle moite du vieillard. Il n'est pas beau, il ne sent pas bon, mais elle ne peut l'abandonner, il est trop seul, il fait partie de ces gens qui ont eu une vie dont même un animal ne voudrait pas. Il n'a pas eu une vie d'Homme, en restant près de lui, elle lui permet d'avoir une mort digne d'un être humain.
L'homme a fermé ses yeux noirs, il n'a rien dit, il n'en avait pas la force, mais avant que son regard ne s'éteigne définitivement, Myriam a eu le temps d'y lire un immense remerciement; de la gratitude, et de la joie. Le coeur de la jeune fille est ému, elle a envie de crier au monde entier son espérance: si chacun fait attention à son voisin, peut être que le monde sera plus beau, plus doux! Elle voudrait laisser l'amour dont son coeur est plein couler jusqu'à la rivière, pour que les plantes et les animaux s'en abreuvent, et que les gens viennent s'y baigner.
Mais de la maison monte une voix :
"Myriam! Viens maintenant, ma fille, ton coeur à été bon, reprends ton travail, comme avant, car c'est ainsi que tu feras le plus de bien; agis dans l'ombre, reste discrète et continue à travailler, et le monde autour de toi sera meilleur."
Myriam, en jeune fille obéissante rentre, et se rassoit à son métier à tisser. Elle tisse son voile, bientôt, son fiancé viendra la chercher pour l'épouser et elle devra s'occuper de la maison, Anne, sa mère à raison, il faut continuer à travailler. Mais comment pourra-t-elle rendre le monde plus doux si elle est tout le temps occupée?
C'est alors qu'une grande lumière se fait. Un ange se tient devant elle, beau, lumineux...
"je te salue, Myriam. Sois sans crainte,..."

Quelqu'un est venue l'aider à faire du bien au Monde...
C'est une histoire que mon coeur m'a soufflé,
parce que moi aussi je veux faire du bien au Monde;
avec mes talents, et j'espère que cette lecture fait partie de celles qui font du bien au coeur et à l'âme.

wow !!
Pas mal du tout !!
Je ne ferait pas de commentaires parce que je suis nouvelle et que je débute.

ca n'empêche pas de faire des commentaires ca! tous les conseils et avis sont interessants!

Magnifique.
Plein de douceur et de poésie.
Ca met de la chaleur dans le coeur.
Alors bravo, c'est une belle leçon d'humilité et d'humanité, même pour les non chrétiens.
Sur l'écriture, rien à dire. Simplicité dans les mots, simplicité dans l'histoire, c'est ce qui fait la force de ton texte.
Donc je redis: magnifique.

rouge
= orthographe/grammaire


jaune/orange
= répétition


black
= synthaxe


bleu
= expression/style

Morganne a écrit:

J'ai une histoire à racconter (raConter... ^^), comme on en connait chacun des miliers,
mais elle est si belle et si pure que je voulais vous la conter.
Je ne sais plus où ni quand, je me souviens juste d'une femme, si belle que les anges s'inclinaient devant elle. Elle était la Reine Amère, Myriam, mais vous la connaissez mieux, sous le nom de Marie. Son enfant a une histoire merveilleuse, mais que d'autres conteront mieux que moi, celle que je veux éclairer, c'est Myriam.
Un jour qu'il faisait chaud, elle travaillait à son métier à tisser, quand un vieil homme tombe devant la porte. Elle a beaucoup de travail, et pourtant, elle pose sa quenouille, [strike]elle[/stike] se lève, (elle est auprès de l'homme ??). elle sait qu'il va mourir, cela se lit dans ses yeux, s'entend dans sa respiration. elle pourrait le laisser mourir, et retourner à son travail, pourtant, elle reste là, à genoux, sa main dans celle moite du vieillard. Il n'est pas beau, il ne sent pas bon, mais elle ne peut l'abandonner, il est trop seul, il fait partie de ces gens qui ont eu une vie dont même un annimal ne voudrait pas. Il n'a pas eu une vie humaine, en restant près de lui, elle lui permet d'avoir une mort digne d'un être humain.
L'homme a fermé (pourquoi passer du présent de narration au passé composé ??) ses yeux noir, il n'a rien dit, il n'en avait pas la force, mais avant que son regard ne s'éteigne définitivement, Myriam a eu le temsp d'y lire un immense remerciement; de la gratitude, et de la joie. Le coeur de la jeune fille est ému, elle a envie de crier au monde entier son espérance: si chacun fait attention à son voisin, peut être que le monde sera plus beau, plus doux! Elle voudrait laisser l'amour dont son coeur est plein couler jusqu'à la rivière, pour que les plantes et les animaux s'en abreuvent, et que les gens viennent s'y baigner.
Mais de la maison monte une voix :
"Myriam! Viens maintenant, ma fille, ton coeur à été bon, reprends ton travail, comme avant, car c'est ainsi que tu feras le plus de bien; agis dans l'ombre, reste discrète et continue à travailler, et le monde autour de toi sera meilleur."
Myriam, en jeune fille obéissante rentre, et se rassoit à son métier à tisser. Elle tisse son voile, bientôt, son fiancé viendra la chercher pour l'épouser et elle devra s'occuper de la maison, Anne, sa mère à raison, il faut continuer à travailler. Mais comment pourra-t-elle faire du bien au monde si elle est tout le temps occupée?
C'est alors qu'une grande lumière se fait. Un ange se tient devant elle, beau, lumineux...
"je te salue, Myriam. Sois sans crainte,..."

Quelqu'un est venue l'aider à faire du bien au Monde...
C'est une histoire que mon coeur m'a soufflé,
parce que moi aussi je veux faire du bien au Monde;
avec mes talents, et j'espère que cette lecture fait partie de celles qui font du bien au coeur et à l'âme.

quelques maladresse, des passages un peu lourds à mon goût... mais rien de grave.



édit :

Citation :

wow !!
Pas mal du tout !!
Je ne ferait pas de commentaires parce que je suis nouvelle et que je débute.

... commencer par lire les autres et les commenter c'est déjà faire un pas. (surtout que tu serais contente je pense qu'on t'en fasse ^^) le fait que tu sois nouvelle ne t'empêche en aucun cas de critiquer (dans les deux sens) et permettra à l'auteur de progresser. je n'ai pas dit forcément d'écrire un roman...

merci jaina pour la correction! je n'ai pas modifié le temps du deuxième passage parce que c'est une façon de racconter qui précipite les choses, je ne sais pas trop comment m'expliquer, c'est comme à la fin d'un livre dans l'épilogue qui racconte ce qui s'est passé après. parfois, on passe du présent au passé...

Morganne a écrit:

J'ai une histoire à partager, comme on en connait chacun des milliers, mais elle est si belle et si pure que je voulais vous la conter.
Je ne sais plus où ni quand, je me souviens juste d'une femme, si belle que les anges s'inclinaient devant elle. Elle était la Reine Amère, Myriam, mais vous la connaissez mieux, sous le nom de Marie. Son enfant a une histoire merveilleuse, mais que d'autres conteront mieux que moi, celle que je veux éclairer, c'est Myriam.
Un jour qu'il faisait chaud, elle travaillait à son métier à tisser, quand un vieil homme tombe devant la porte (tomber dans le sens chuter?Sinon, c'est assez familier). Elle a beaucoup de travail, et pourtant, elle pose sa quenouille, elle se lève, s'approche de l'homme. elle sait qu'il va mourir, cela se lit dans ses yeux, s'entend dans sa respiration. elle pourrait le laisser partir, et retourner à son travail, pourtant, elle reste là, à genoux, sa main dans celle moite du vieillard. Il n'est pas beau, il ne sent pas bon, mais elle ne peut l'abandonner, il est trop seul, il fait partie de ces gens qui ont eu une vie dont même un animal ne voudrait pas. Il n'a pas eu une vie (répétition) d'Homme, en restant près de lui, elle lui permet d'avoir une mort digne d'un être humain.
L'homme a fermé ses yeux noirs, il n'a rien dit, il n'en avait pas la force, mais avant que son regard ne s'éteigne définitivement, Myriam a eu le temps d'y lire un immense remerciement; de la gratitude, et de la joie. Le cœur de la jeune fille est ému, elle a envie de crier au monde entier son espérance: si chacun fait attention à son voisin, peut être que le monde sera plus beau, plus doux! Elle voudrait laisser l'amour, dont son cœur (répétition) est plein, couler jusqu'à la rivière, pour que les plantes et les animaux s'en abreuvent, et que les gens viennent s'y baigner.
Mais de la maison monte une voix :
"Myriam! Viens maintenant, ma fille, ton cœur (répétition) a été bon, reprends ton travail, comme avant, car c'est ainsi que tu feras le plus de bien; agis dans l'ombre, reste discrète et continue à travailler, et le monde autour de toi sera meilleur."
Myriam, en jeune fille obéissante rentre, et se rassoit à son métier à tisser. Elle tisse son voile, bientôt, son fiancé viendra la chercher pour l'épouser et elle devra s'occuper de la maison, Anne, sa mère à raison, il faut continuer à travailler. (il faut couper cette phrase, c'est trop haché) Mais comment pourra-t-elle rendre le monde plus doux si elle est tout le temps occupée?
C'est alors qu'une grande lumière se fait. Un ange se tient devant elle, beau, lumineux...
"Je te salue, Myriam. Sois sans crainte,..."

Quelqu'un est venue l'aider à faire du bien au Monde...
C'est une histoire que mon cœur m'a soufflé,
Parce que moi aussi je veux faire du bien au Monde;
Avec mes talents, et j'espère que cette lecture fait partie de celles qui font du bien au cœur et à l'âme.

C'est assez mignon, mais je rajouterai deux ou trois trucs pour la rendre encore plus poétique... Mais c'est une très bonne ébauche .

OK !!
Alors voilà mon (mes) commentaires : c'est peut-être un peu classique, mais enfin moi ,mes parents sont catho alors j'ai grandi là-dedans.
Sinon, c'est vrai que c'est très humain.

C'est très beau. Juste au début, j'ai butté sur un passage où tu passes directement de l'imparfait au présent. J'ai un peu de mal avec le va et vient entre le présent et le passé.

Citation :

Un jour qu'il faisait chaud, elle travaillait à son métier à tisser, quand un vieil homme tombe devant la porte.

Sinon oui c'est très beau. J'adore cette métaphore :

Citation :

Elle voudrait laisser l'amour, dont son cœur est plein, couler jusqu'à la rivière, pour que les plantes et les animaux s'en abreuvent, et que les gens viennent s'y baigner.

pour les temsp, je corrige le WE prochain, la je dois aller manger... bonne semaine a tous!