Ta vie ou la mienne nouvelle ;)

Voila une nouvelle que j'ai adoré écrire! alors si elle ne plait pas tant pis! car j'ai vraiment aimée l'écrire! quand je l'ai rédigé j'y ai réfléchis chaque mot n'es pas pri au hasard^^ enfin bon, j'espère que ca vous plaira que vous aimerez et que vous comprendrai cette nouvelle comme je voudrais qu'elle soit comprise^^ je ne crois pas que ca demande une explication, si? ca me semble simple et bien expliqué dans le texte lui même. Bon j'arrête xD juste dire encore un truc bonne lecture lol


Ta vie ou la mienne.



On était des simples gamines, toujours en délire, toujours entrain de rire. Vivant selon nos lois, fuguant la nuit pour mieux se retrouver dans les rues à vagabonder. On formait un petit groupe de lycéenne âgée de pas plus de 16 ans, pleine d’avenirs, de rêves et d’ambition.

C’était une semaine avant, on était dans l’immeuble désaffecté qui nous servait de repaire quand nous sortions. On fumait, on buvait, on s’amusait… Parlant de nos idéaux, de nos envies qui, jamais, ne se ferait. On était là, simplement là sur terre, au sommet d’un haut building qui me donnait le vertige, nous étions ici pour vivre et mourir. Nina me tentait sa cigarette tout en me posant cette question, qui encore maintenant me tourmente…bien qu’à présent je connaisse la réponse…
« Ta vie ou la mienne ? » C’était ça, sa question. Cette grande question qui sans cesse me remet en question…je dois admettre la réponse…
« La tienne ! » répondis je sans hésiter.
Quelques minutes après, chacune à notre tour, nous avons promis que se serait toujours la vie de l’autre, en haut de ce grand building où nos voix s’évanouir.

Le soleil se levait, et de grandes ombres se formaient autour de nous. L’ombre de notre building dominait toute les autres par sa grandeur…On s’est dit au revoir, à la prochaine nuit où encore nous fumerons où encore nous mourrons peu à peu. Je me souviens de notre marque de cigarette « the blue », je me souviens comme on les aimait tant…J’ai grandit maintenant, et je préfère celle que je fûmes en ce moment précis…

Je me glissai dans mon lit froid et doucement, ma mère vint frapper à ma porte pour me réveiller alors que je venais à peine de fermer les paupières pour rêver en solitaire… Je fis l’illusion d’être reposée mais encore maintenant je sais que plus jamais je n’aurai de repos. Salle de bain pour que l’odeur de cigarette disparaisse. Café, pour que je reste éveillé et pour donner cette illusion derrière laquelle je continue de me cacher…Je vais à mon lycée de bonne famille, pensant à mes amies qui, dans leur lycée de rebelle pensent au soir…

Bonne nuit…ce mot qui à l’époque avait, pour moi, un sens tout autre que ce que mes parents lui donnait. Pour moi, « bonne nuit » c’est amuse toi et fume. Les yeux grands ouverts j’attends de pouvoir disparaître dans le building élevé, dans mon building. J’ouvre la fenêtre, je la passe, je parcours les rues, je franchis la porte, grimpe les escaliers. Mon ascension est longue et je perds patience dans ses escaliers sale et étroit.

Je dois ajouter que Nina était un peu dérangée…C'est-à-dire qu’elle était intelligente mais folle pas comme je l’étais mais plutôt comme je suis devenu après cette fameuse nuit. Arrivé au sommet de l’immeuble, elles virent vers moi pour me montrer leur trouvaille. De la drogue. Elles étaient sur existées et je dois le reconnaître moi aussi… Enfin bon, nous avons passé une bonne partie de la nuit à ne plus être réfléchies…
4h37. J’avais remarqué que Nina me dévisageait depuis quelques temps tout en arpentant la pièce en jetant des regards furtifs vers les fenêtres. Je la rejoins, et c’est se qu’elle attendait car un sourire illumina son visage. Je regardai par la fenêtre un gouffre semblait être apparu. Je ne distinguais pratiquement plus le sol comme si mon cerveau interprêtait déjà la suite des évènements…mais peut être que je savais déjà ? Mais que je ne voulais pas savoir alors que j’ai interdit à mon cerveau de me révéler l’information… je ne sais plus trop…Enfin, cela est il que Nina me demanda, une nouvelle fois : « Ta vie ou la mienne » Toujours sans hésiter je lui répondit « ta vie ». Après quelques secondes pesantes où je me perdis dans les profondeurs d’en bas, où de ma place au percher je regardai l’asphalte que j’ai frôlé pour venir, je n’ai fait que l’effleurer…et je lui demandai : « Qu’attends-tu ? » Nina me regarda avec une mine interrogative, mais ses yeux brun foncés, pratiquement noir brillaient d’une étrange lueur. Je poursuivis « Je te connais, chacun de tes gestes, de tes faits, chacune de tes paroles n’ai jamais dites au hasard. Tu déconnes comme nous mais quand tu te perds dans nos folies tu sais où tu vas où tu veux aller. Nous on peut partir sur n’importe quoi mais toi tu auras un but…alors qu’attendu-tu ? »
En réalité, je savais…maintenant que j’y repense je l’ai moi-même poussé à y aller, à faire ce qu’elle rêvait de faire depuis ma réponse. Elle fit signe aux autres de venir. Elle voulait des témoins, elle ne voulait pas que je puisse oublier et me dire que personne ne sait, elle voulait que pour l’éternité j’aie toujours ce moment gravé dans mon esprit…

Elle ouvrit la fenêtre et respira. Moi je regardai le sol... Je fixais un point au hasard tant que s’était loin, loin de la fenêtre par laquelle Nina prenait l’air… Elle ouvrit la bouche, la referma. Elle ne voulait pas se tromper. Ces mots devaient être justes bien choisis pour ne pas faire tâche. Finalement elle reprit la parole, sûr d’elle et de son acte tout proche… « Nous disons tous des choses dont nous ignorons la réponse. Et pour avoir la réelle réponse qui nous correspond il faut, une fois, être confronter à cette affirmation…voir si on va assumer nos mots, nos propres mots. » Elle me fixait. Sur son visage un air heureux et mystérieux se lisait…

Elle repoussa les autres ne gardant auprès d’elle que moi… C’est moi qui saurait la réponse à la question…la vraie réponse ! J’avais le privilège…elle m’avait prise moi… Elle éclata de rire, un rire joyeux. Puis se détourna de moi pour se pencher à la fenêtre. Elle contrôla son fou rire pour s’asseoir au bord de la fenêtre. Au bord de la mort… au bord des falaises qui entour la vallée…de éminentes falaises…
En même temps que je saisis sa main elle glissa enfin se poussa elle-même dans ce vide.
Mon ventre était écrasé par mon propre poids sur le rebord pointu du chassi de la fenêtre. Ma main, moite et qui serrait celle de Nina semblait pourtant hésiter à tenir encore…
Nina me jeta un regard malicieux avant de me dire avec évidence « C’est simple…tu me lâche et tu gardes ta vie ou alors tu franchis ce fameux chassi et me repousse à l’intérieur de l’étage en dessous mais tu tombes. » Angoissée je continuai à la tenir mais ce ne serait pas éternel…
« Ma vie ou la tienne » ajouta t elle.
Ma vie ou la tienne. Ma vie ou la tienne. Ma vie ou la tienne. Ma vie ou la tienne. Ma vie ou la tienne. Ma vie ou la tienne. Ma vie ou la tienne
Sans cesse cette petite phrase résonnait dans mon cerveau qui se vidait.
« Tu te souviens de la promesse…tu te souviens de mes propos…tu te souviendras si tu vies ou tu oublieras si tu meurts… » Le silence plana encore quelques instants des minutes dans lequel j’hésitais encore…
« Ma vie ou la tienne » dit elle à nouveau toujours en souriant.
« Tais toi ! » dis je la rage au cœur.
« Je n’ai pas besoin de le dire car je sais que pour l’instant, dans ta tête c’est la phrase que tu te répète sans arrêt. Moi, pour le moment, à l’instant je me répète cette phrase que j’ai dites tout à l’heure. ‘’Nous disons tous des choses dont nous ignorons la réponse. Et pour avoir la réelle réponse qui nous correspond il faut, une fois, être confronter à cette affirmation…voir si on va assumer nos mots, nos propres mots.’’ Tu vas maintenant savoir si tu sais se qui te corresponds. »
« Je ne veux pas choisir ! » hurlais je les larmes aux yeux.
« Tu avais pourtant un choix, avant que je glisse… »
« Tu sais très bien que ça n’avait pas réellement d’importance que c’était…Comme ça ! »
« Ce n’étais pas ‘’comme ça ‘’ car, si ça l’aurait été, tu m’aurais déjà lâché. » dit elle, elle arrivait enfin au moment qu’elle préférait…la mort s’approchait. Elle était imminente pour une de nous deux…
Elle poursuivit « Maintenant tu vas devoir choisir. Ma vie ou la tienne. »

Ma vie ou la tienne. Ma vie ou la tienne. Ma vie ou la tienne. Ma vie ou la tienne.

Je lui souris, un sourire navré. Et doucement ma main revint contre moi. Lentement Nina comment ça à disparaître et ne devenir qu’un point qui s’arrêta brusquement… Des larmes tombèrent dans le sang qui l’entourait. Elle mourrait méconnaissable car son visage n’avait plus de forme. Les autres me regardèrent encore pétrifiée. C’est alors que je compris…
Nina voulait que durant toute ma vie je sois comme elle. Que chacun de mes gestes, que chacune de mes phrases soient vraies et réfléchies. Rien ne doit être au hasard !

Je descendis les marches d’un pas lourd. Elle était morte. Aucun mot ne pourrait définir se que je ressentais. CE n’était ni de la culpabilité, ni de la joie, ni de la tristesse c’était un sentiment étrange…Je sortis. Autour de son corps qui n’avait forme une foule d’inconnu c’était accumulé. Je ne jetai aucun regard…

Nous sommes des égoïstes mais nous sommes humains. Je ne serais jamais morte à la place de quelqu’un d’autre je ne donnerai ma vie qu’à moi-même. Et je mentirais si je disais le contraire. Je suis égoïste…ma vie a plu d’importance que celle de n’importe qui. Je ne me perdrai plus dans des beaux discours. Seule la vérité importe.

A présent, je vis chaque jour en pensant à cette question, à cette réponse, à mes actes, à ses paroles, à Nina, à ma vie, à mon égoïsme, à mon mensonge, à moi…

‘’Ta vie ou la mienne’’ a une réponse triste mais logique et vraie !

Nous disons tous des choses dont nous ignorons la réponse. Et pour avoir la réelle réponse qui nous correspond il faut, une fois, être confronter à cette affirmation…voir si on va assumer nos mots, nos propres mots.

Bloup.... "En attente de développement"

c'est beau... triste mais beau...

OUUUAAAHHHH !!!!!!!! C'est magnifique !!!!^^

bloup ??

*époustouflée*

c'est super bien écrit

ho la la







*incapable d'articuler un mot*

c'est euh... euh... époustouflant !!
*vala, j'ai trouvé mon mot* (merci clochette )

Bravo ! C'est... superbe !

C'est magnifique... Tout simplement magnifique... Bon, le fait que la fille veut la forcer à se tuer pour vérifier qu'elle disait vrai est un peu... tiré par les cheveux, mais ça reste un très beau texte.

c'est pour ca que je précise que la fille est folle au début car c'est vrai que ca semble fou quoi xD

Tu devrais préciser

"Peut-être était-ce la drogue qui l'avait rendu ainsi, elle qui, avant, était la plus mature de toute... En tout cas, elle était folle, c'était certain !"

non car c'est pas a cause de la drogue qu'elle est folle, elle est folle dans le sens problème au cerveau si tu préfère. Malade mental sera peut être plus explicite^^. et elle est suicidaire enfin disons qu'elle n'a pas peur de la mort quoi

D'accord...