De l'encre dans les veines Une plume au bout des doigts, un monde derrière la tête... |
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| Nouvelle : Des larmes, encore des larmes, toujours des larme | |
| | Auteur | Message |
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dadadele Excellente Plume
Nombre de messages : 1973 Age : 31 Loisirs : ecrire, peindre Catégorie (Ecrivain,Poète,Dessinateur,Photographe) : écrivain Date d'inscription : 18/08/2007
| Sujet: Nouvelle : Des larmes, encore des larmes, toujours des larme Jeu 28 Fév - 23:21 | |
| Parcourant rapidement la ville, je cherchais désespérément Lui. La seule chose qui pourrait encore me retenir ici bas. Le seul espoir, l’unique chance…la dernière chance. Je cherchais avec vélocité ; je devais absolument Le trouver. Mon sauveur, ma seule raison d’exister. Comment chercher un être dans une ville, telle que Paris ? Comment trouver cette unique personne parmi tous ces gens sans importance ? Comment le trouver dans cette masse compacte qui m’oppresse toujours plus ? Oui, c’est à cause d’eux que j’ai perdu tous mes autres espoirs… J’étais au collège, je n’accumulais pas vraiment les garçons. Et le seul que j’avais réussi à dégotter, se moquait, en réalité, de moi. Je me souviens de la foule d’élèves qui c’était agglutinée autour de moi au moment de la grande révélation. Je me sentais petite et comprimée par cet amas d’élèves au sourire méprisable. Les rires suivirent, et doucement des larmes coulèrent…
Des larmes…
Mon air affligé attira plusieurs regards. Il est vrai que je paraissais angoissée et pratiquement en crise de panique. Les passants s’écartaient de mon chemin, me laissant en solitaire… Je n’avais que le visage blême, dans mes yeux une peur à peine perceptible se lisait mais à peine… Je les repoussais, rebutais. Il me regardait d’un air dédaigneux… Je devais être à l’école primaire, là, déjà, les autres m’harcelaient. C’était la petite gamine qu’on détestait, celle qui avait la « lèpre ». Vous avez sans doute déjà tous fais ce jeu idiot ? Si on est touché on est contaminé sauf, si on a croisé ses doits qui agisse comme antidote. Ce jeu stupide où j’étais toujours la lépreuse…Les larmes d’une petite fille qui venait de découvrir la vie extérieure roulèrent sur ma joue rougie.
Déjà des larmes…
Les passants ne faisaient plus que de me regarder d’un air dégoûté, non, entre eux ils chuchotaient. Et dans les quelques mots que je pouvais percevoir, je compris bien vite que c’était des ragots. Une méchanceté gratuite. C'était à la fin de mes années d’étude au collège. Je me souviens que quand je marchais dans les couloirs, que j’entrais en classe, que j’arrivais, les autres commençaient…Tous les sujets étaient bons pour me rabaisser. Chacun cassait du sucre sur mon dos. Dans mes yeux une haine et une profonde tristesse se lisaient. Je ne comprenais pas tout simplement. Et recroquevillé(e) sur moi-même, je sanglotais.
i]
[i]Encore des larmes…
Je les bousculai de mes bras chétifs. Ils ne comprenaient pas que j’avais besoin de ce dernier espoir ? De la personne qui ne m’a jamais, au grand jamais fait pleurer ? Je repris ma course folle, pour quitter ces badauds idiots et méprisables ! Je me débattais péniblement pour ne plus être avec les personnes qu’à présent je haïssais. Je les détestais autan que tous les autres qui m’avaient toujours, toujours fais pleurer. C’était lors de ma première année d’université, j’avais voulu me défendre face à ceux qui, comme toujours, m’avaient irritée, poussée à bout. Je m’étais retournée, et dans mes yeux une lueur folle pouvait se lire. Eux riaient. Je me suis jetée sur un de la bande, pour lui faire mal, le griffer, le frapper, me défouler, faire sortir toutes ces années où je m’étais retenue. Mais, ils étaient en si grand nombre qu’ils me plaquèrent au sol pour mieux me gifler, se moquer de moi tout simplement… Quand ils m’ont laissée, en sang, sur l’asphalte, je me suis apitoyée sur mon sort. Me jurant de toujours rester stoïque face à mes ennemis. .
Toujours des larmes…
Ca y est ! Je le vois ! Tous ses souvenirs n’ont plus d’importance ! Ce qui compte c’est que, bientôt, dans ses bras, je pourrais me reposer. Me sentir au chaud dans ses bras musclés. Je pourrai croiser son regard enjoliveur, je pourrai sentir son odeur virile et rassurante, je pourrais être en sûreté…
Grande et mince, avec de longs cheveux blonds qui lui arrivent aux fesses, elle est pendue au bras de l’homme musclé à ses côtés. Elle ne le tient pas amicalement, non, elle trop proche de Lui pour que se soit ça. Je m’approche, pour mieux voir, pour être sûre. Le regard de la jeune femme est amoureux mais en même temps coquin, trompeur. Lui la regarde avec envie…
Des larmes, encore des larmes, toujours des larmes…
La phrase se répète inlassablement dans mon esprit. J’avais toujours pleuré et où en étais-je arrivée ? Cocu ! _____Brisée ! ___________Humiliée ! __________________Malheureuse ! Non, je ne devais pas !
Je m’arrêtai, laissant les amants s’envoler, disparaître. Les larmes étaient là, prêtes à sortir, mais je les retenais. Elles n’arriveraient pas à mes yeux gris, elle ne sortiraient pas ; non.
Je désire pleurer et ne pas pleurer à la fois. L’envie de me libérer comme auparavant me séduit, mais à quoi bon ? Pourquoi ? Un combat entre ma force de résister à pleurer et l’envie s’en suivit.
L’air me manque…les larmes bloquent l’arrivée d’oxygène, cet chose précieuse qui m’est indispensable…mais pourtant je persiste à ne pas pleurer. Je m’empêche, je ne dois pas ! C’est un ordre que je lance à mon esprit. Aucune larme ne doit s’échapper. Je ne respire plus…ce qui m’entoure s’obscurcit mais je ne respire toujours pas. J’ai trop perdu à pleurer, tanpis si j’y perd en me retenant, j’aurai essayé.
Où suis-je ? Je ne vois rien. Peu à peu tout s’éclaircit légèrement, c’est toujours sombre. Je ne sens ni la chaleur des personnes qui pourraient m’avoir sauvée, ni la froideur de l’asphalte sur lequel je devais à présent être étendue. Les douleurs que logiquement, après une chute, on ressent, moi, je ne les avais pas. Etais je morte ? Ne pas pleurer c’est mourir ? Je ne savais pas…
C’est étrange cet endroit…inquiétant, angoissant… J’ai l’impression de ne rien peser mais pourtant quelque chose m’attire vers le fond… Une force étrange…
Suicide ?
Je dois avouer que la question me perturbe…
Je sens quelques chose de froid qui descend le long de ma joue… ********************************************************* Je suis pas sur de la fin et de la chute...c'était pourtant l'idée principale enfin, je voulais décrire se qui se passait quand on tentait d'empêcher les larmes de couler (expérience perso xD) mais je ne suis pas satisfaite du résultat. (nouvelle fictive pour ceux qui aurait des doutes xD)
Dernière édition par dadadele le Ven 29 Fév - 0:30, édité 10 fois | |
| | | Mooney Star des Plumes
Nombre de messages : 2771 Age : 29 Localisation : En train de brûler du Musso devant l'Académie Française Loisirs : Me perdre avec Leïla, interpréter les rêves des gens, deviner les pensées des passants que je croise dans la rue... Catégorie (Ecrivain,Poète,Dessinateur,Photographe) : Ecrivain et Dessinateur Date d'inscription : 22/08/2007
| Sujet: Re: Nouvelle : Des larmes, encore des larmes, toujours des larme Jeu 28 Fév - 23:54 | |
| J'aime beaucoup bien qu'il y aie des zones trop obscures sur le texte. Il y a quelques fautes d'orthographe mais elles ne sont pas trop choquantes et permettent une lecture non gênée.
L'idée est excellente, mais comme dit plus haut, il y a des "trous". Par exemple : pourquoi les autres la rejette ? Quel était son dernier espoir ? Mais c'est peut-être cette ignorance qui rends ton texte agréable à lire, léger et beau. Ensuite, la progression est excellente avec ces larmes apparaissent régulièrement. En bref, j'aime beaucoup. | |
| | | monbbjtm66 Plume habituée
Nombre de messages : 838 Age : 114 Localisation : Sur la terasse de l'appart du 3ème étage du n°11 de l'avenue Foch, dans le brouhaha ambiant Loisirs : Gym, Danse, Equitation, Ecriture, Photo, ... Catégorie (Ecrivain,Poète,Dessinateur,Photographe) : Dessinatrice / photographe à mes heures (non) perdues Date d'inscription : 03/02/2008
| Sujet: Re: Nouvelle : Des larmes, encore des larmes, toujours des larme Ven 29 Fév - 0:07 | |
| - dadadele a écrit:
- Parcourant rapidement la ville, je cherchais désespérément Lui. La seule chose qui pourrait encore me retenir ici bas. Le seul espoir, l’unique chance…la dernière chance. Je cherchais avec vélocité ; je devais absolument Le trouver. Mon sauveur, ma seule raison d’exister. Comment chercher un être dans une ville, telle que Paris ? Comment trouver cette unique personne parmi tous ces gens sans importance ? Comment le trouver dans cette masse compacte qui m’oppresse toujours plus ? Oui, c’est à cause d’eux que j’ai perdu tous mes autres espoirs…
J’étais au collège, je n’accumulais pas vraiment les garçons. Et le seul que j’avais réussi à dégotter, se moquait, en réalité, de moi. Je me souviens de la foule d’élèves qui c’était agglutinée autour de moi au moment de la grande révélation. Je me sentais petit(e) et comprimé(e) par cet amas d’élèves au sourire méprisable. Les rires suivirent, et doucement des larmes coulèrent…
Des larmes…
Mon air affligé attira plusieurs regards. Il est vrai que je paraissais angoissé(e) et pratiquement en crise de panique. Les passants s’écartaient de mon chemin, me laissant en solitaire… Je n’avais que le visage blême, dans mes yeux une peur à peine perceptible se lisait mais à peine… Je les repoussais, rebutais. Il me regardait d’un air dédaigneux… Je devais être à l’école primaire, là, déjà, les autres m’harcelaient. C’était la petite gamine qu’on détestait, celle qui avait la « lèpre ». Vous avez sans doute déjà tous fais ce jeu idiot ? Si on est touché on est contaminé sauf, si on à croisé ses doits qui agisse comme antidote. Ce jeu stupide où j’étais toujours la lépreuse…Les larmes d’une petite fille qui venait de découvrir la vie extérieure roulèrent sur ma joue rougie.
Déjà des larmes…
Les passants ne faisaient plus que de me regarder d’un air dégoûté, non, entre eux ils chuchotaient. Et dans les quelques mots que je pouvais percevoir, je compris bien vite que c’était des ragots. Une méchanceté gratuite. C'était à la fin de mes années d’étude au collège. Je me souviens que quand je marchais dans les couloirs, que j’entrais en classe, que j’arrivais, les autres commençaient…Tous les sujets étaient bons pour me rabaisser. Chacun cassait du sucre sur mon dos. Dans mes yeux une haine et une profonde tristesse se lisaient. Je ne comprenais pas tout simplement. Et recroquevillé(e) sur moi-même, je sanglotais.
Encore des larmes…
Je les bousculai de mes bras chétifs. Ils ne comprenaient pas que j’avais besoin de ce dernier espoir ? De la personne qui ne m’a jamais, au grand jamais fait pleurer ? Je repris ma course folle, pour quitter ces badauds idiots et méprisables ! Je me débattais péniblement pour ne plus être avec les personnes qu’à présent je haïssais. Je les détestais autant que tous les autres qui m’avaient toujours, toujours fais pleurer. C’était lors de ma première année d’université, j’avais voulu me défendre face à ceux qui, comme toujours, m’avaient irrité(e), poussé(e) à bout. Je m’étais retournée, et dans mes yeux une lueur folle pouvait se lire. Eux riaient. Je me suis jeté(e) sur un de la bande, pour lui faire mal, le griffer, le frapper, me défouler, faire sortir toutes ces années où je m’étais retenue. Mais, ils étaient en si grand nombre qu’ils me plaquèrent au sol pour mieux me gifler, se moquer de moi tout simplement… Quand ils m’ont laissé(e), en sang, sur l’asphalte, je me suis apitoyé(e) sur mon sort. Me jurant de toujours rester stoïque face à mes ennemis.
Toujours des larmes…
Ca y est ! Je le vois ! Tous ses souvenirs n’ont plus d’importance ! Ce qui compte c’est que, bientôt, dans ses bras, je pourrais me reposer. Me sentir au chaud dans ses bras musclés. Je pourrai croiser son regard enjoliveur, je pourrai sentir son odeur virile et rassurante, je pourrais être en sûreté…
Grande et mince, avec de longs cheveux blonds qui lui arrivent aux fesses, elle est pendue au bras de l’homme musclé à ses côtés. Elle ne le tient pas amicalement, non, elle trop proche de Lui pour que se soit ça. Je m’approche, pour mieux voir, pour être sûr(e). Le regard de la jeune femme est amoureux mais en même temps coquin, trompeur. Lui la regarde avec envie…
Des larmes, encore des larmes, toujours des larmes…
La phrase se répète inlassablement dans mon esprit. J’avais toujours pleuré et où en étais-je arrivé(e) ? Cocu ! _____Brisée ! ___________Humiliée ! __________________Malheureuse ! Non, je ne devais pas !
Je m’arrêtai, laissant les amants s’envoler, disparaître. Les larmes étaient là, prêtes à sortir, mais je les retenais. Elles n’arriveraient pas à mes yeux gris, elle ne sortiraient pas ; non.
Je désire pleurer et ne pas pleurer à la fois. L’envie de me libérer comme auparavant me séduit, mais à quoi bon ? Pourquoi ? Un combat entre ma force de résister à pleurer et l’envie s’en suivit.
L’air me manque…les larmes bloquent l’arrivée d’oxygène, cet chose précieuse qui m’est indispensable…mais pourtant je persiste à ne pas pleurer. Je m’empêche, je ne dois pas ! C’est un ordre que je lance à mon esprit. Aucune larme ne doit s’échapper. Je ne respire plus…ce qui m’entoure s’obscurcit mais je ne respire toujours pas. J’ai trop perdu à pleurer, tanpis si j’y perd en me retenant, j’aurai essayé.
Où suis-je ? Je ne vois rien. Peu à peu tout s’éclaircit légèrement, c’est toujours sombre. Je ne sens ni la chaleur des personnes qui pourraient m’avoir sauvé(e), ni la froideur de l’asphalte sur lequel je devais à présent être étendue. Les douleurs que logiquement, après une chute, on ressent, moi, je ne les avais pas. Etais je morte ? Ne pas pleurer c’est mourir ? Je ne savais pas…
C’est étrange cet endroit…inquiétant, angoissant… J’ai l’impression de ne rien peser mais pourtant quelque chose m’attire vers le fond… Une force étrange…
Suicide ?
Je dois avouer que la question me perturbe…
Je sens quelques chose de froid qui descend le long de ma joue… ********************************************************* Je suis pas sur de la fin et de la chute...c'était pourtant l'idée principale enfin, je voulais décrire se qui se passait quand on tentait d'empêcher les larmes de couler (expérience perso xD) mais je ne suis pas satisfaite du résultat. (nouvelle fictive pour ceux qui aurait des doutes xD) Je trouve le texte plutot bien. Je suis d'accord sur certains points de ce que l'ont peut ressentir lorsqu'on essaye desespérément de ne pas pleurer, comme la sensation de manquer d'oxygène (qui n'est parfois pas qu'une sensation), et la haine grandissante, mais pas vraiment en accord sur la fin ... (expérience personnelle aussi) Je ne voit pas trop ce qu'est le "quelque chose" froid qui descend le long de sa joue ... Une larme ? Les sentiments ressortent plutot bien, mais un "je-ne-sais-quoi" coince [de mon point de vue entièrement subjectif, on s'entend] (peut-être (sûrement) à cause de mon expérience personnelle). Un "truc de plus", une sensation qui manque ... Je ne saurais pas l'expliquer... Moony : Son dernier espoir, c'était le gars, mais il sort avec une fille (fin je crois) | |
| | | dadadele Excellente Plume
Nombre de messages : 1973 Age : 31 Loisirs : ecrire, peindre Catégorie (Ecrivain,Poète,Dessinateur,Photographe) : écrivain Date d'inscription : 18/08/2007
| Sujet: Re: Nouvelle : Des larmes, encore des larmes, toujours des larme Ven 29 Fév - 0:18 | |
| Lui = son dernier espoir = son mec ou un mec qu'elle aime (même moi je ne sais pas xD) = mais qui la trompe
En réalité je ne sais pas pourquoi on la rejette, mais a t on vraiment besoin d'un élément pour rejeter quelqu'un? suffit qu'une personne la choisisse comme bouk émissaire (sais pas pour l'ortho) et c'est partit pour que les autres suivent. Au sinon je vous laisse choisir une raison et vous en trouverez surement. Car, je crois qu'on a tous un jour par exemple joué à ce petit jeu de la lèpre (je sais plus si c'est cette maladie qu'on prenait mais je sais que ce "jeu" existe. Bien que j'en ai jamais subi les conséquence) et qu'on avait pas forcément une raison valabe. Oui c'est une larme car je crois qu'il est impossible même avec toute la volontée du monde de mourir en s'empéchant de pleurer. On finira par craquer et finalement elle craque.
Monbbjtm t'as le même truc que moi, j'ai l'impression qui a un truc qui cloche je cherche je cherche et je ne tombe pas dessus!
ps : merci pour la correction^^ | |
| | | Lolilola Star des Plumes
Nombre de messages : 2464 Age : 26 Localisation : Dans l'impasse Catégorie (Ecrivain,Poète,Dessinateur,Photographe) : Ecrivain et poète Date d'inscription : 09/01/2008
| Sujet: Re: Nouvelle : Des larmes, encore des larmes, toujours des larme Ven 29 Fév - 10:11 | |
| Très beau, agréable à lire... Bien qu'effectivement, il semble manquer quelque chose. En tout cas, bravo ! | |
| | | Alea Plume confirmée
Nombre de messages : 1302 Age : 31 Localisation : Quelque part dans un autre univers... Loisirs : Equitation, musique, lecture... Catégorie (Ecrivain,Poète,Dessinateur,Photographe) : Ecrivain, poète et apprentie photographe ^^ Date d'inscription : 26/08/2007
| Sujet: Re: Nouvelle : Des larmes, encore des larmes, toujours des larme Ven 29 Fév - 14:29 | |
| Magnifique !!! On ressent toutes les émotions !!!C'est vrai que la fin et euh... comment dire... bizarre... On comprend bien qu'elle ne veut pas pleurer... et tout le reste mais à la fin on a l'impression (du moins tu nous donne l'impression) qu'elle est morte... Elle même, elle croit qu'elle est morte ! Mais comment peut-elle avoir l'impression d'être morte surtout si elle se retenait "juste" de pleurer ? A la limite j'aurais mis qu'elle se sentait vide...ou quelque chose comme ça et que LA elle se demande si elle était morte pour s'apercevoir en faite qu'elle "a perdu son combat" et qu'elle pleure... Enfin je sais pas... je trouve que le trou c'est surtout à la fin... Mais sinon on ressent très bien ses émotions et ce qu'elle ressent pour ne pas pleurer... | |
| | | dadadele Excellente Plume
Nombre de messages : 1973 Age : 31 Loisirs : ecrire, peindre Catégorie (Ecrivain,Poète,Dessinateur,Photographe) : écrivain Date d'inscription : 18/08/2007
| Sujet: Re: Nouvelle : Des larmes, encore des larmes, toujours des larme Ven 29 Fév - 14:46 | |
| le manque d'oxygène l'a fait s'évanouïr et quand elle reprend connaissance elle pleure mais c'est peut être pas clairement expliquer xD j'y retravaillerai | |
| | | Lolilola Star des Plumes
Nombre de messages : 2464 Age : 26 Localisation : Dans l'impasse Catégorie (Ecrivain,Poète,Dessinateur,Photographe) : Ecrivain et poète Date d'inscription : 09/01/2008
| Sujet: Re: Nouvelle : Des larmes, encore des larmes, toujours des larme Ven 29 Fév - 15:22 | |
| Effectivement, c'est pas très clair... Mais en même temps, cela donne un air de mystère qui ne me déplaît pas. | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Nouvelle : Des larmes, encore des larmes, toujours des larme | |
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| | | | Nouvelle : Des larmes, encore des larmes, toujours des larme | |
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