Pourquoi demander du rose, alors qu'après tout est noir ?

Hell00w.

Bon, euh...
J'aime bien écrire l'heureux, mais maintenant, je commence un peu à vaciller vers le noir...
Vous vous demandez quoi en voyant ce titre pourri ? Ben, je n'ai tout simplement rien trouvé de mieux.
Enfin, bon, bref, voici un petit texte, je ne pense pas qu'il sera à suivre, juste qu'il sera infini grâce à chaque fois aux nouvelles critiques ! Ne vous étonnez pas, il est un peu court... Je n'ai pas cherché à faire le parfait vocabulaire : ce n'est qu'un petit texte relatif.

Donc, voilà :


Pourquoi demander du rose, alors qu'après tout est noir ?

Oui, pourquoi demander du rose ? Ces gens si heureux de vivre, dans leurs villas de bourgeois, à payer leur épouse pour qu'elles s'offrent une séance d'esthétie au faciès ? Pour qu'elles nourrissent leurs canidés luxueux de caviar ou de gâteaux à la fraise ? Ils apportent leurs sciences, aiment exposer leurs richesses au vaste monde, et, pour les femmes, se promener dans les plus grandes rues avec leur maquillage de rattrapée et autres fantaisies... Ces gens ne sont que superficiels, ils croient que tout est rose...

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Mais, dans d'autres vies, avant le noir, vient... le noir. Oui, le noir des gens ni pauvres, ni riches, qui occupent leurs journées au bureau ou aux ateliers, à se casser la cervelle pour chaque jour trouver une nouvelle idée, un nouveau point...
Ces gens qui accourent aux pompes à essence avant que les prix n'augmentent encore, qui aimeraient tant offrir à leurs progénitures ce qu'ils veulent...
Qu'advient-il de ces gens-là ?
Certains croient aux miracles, qu'après la mort vient autre chose, une vie meilleure comme l'on dit.
D'autres, dès leur adolescence, s'affairent à leurs coutumières et mauvaises habitudes, dont on ne devrait pas parler aux petits enfants...
Mais certains autres encore, pensent que tout est fichu dès la maturité, dès que leur vie bascule, dès qu'arrive le chômage, le misérable salaire, l'amour, le mariage, le premier enfant, et d'autres possibilités pour cahque vie...
En un mot, c'est ce qu'ils appellent, au verbe :

D-E-P-R-I-M-E-R,
ou, pour signifier le mot provocateur :

La C-R-I-S-E.

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Oh, la crise ! Provocateur de désorientation dans le pays, composée de grèves, de licenciements, de chômages, de privations, d'augmentation des prix d'achat, de baisse des prix de salaire, de mauvais moyens, de bagarres, de manifestations, d'une Grande Guerre Nationale.

Mais cela ferait trop politique si j'exposais mes sentiments sur ce sujet. Revenons à notre thème.
Bref, les gens demandent du rose... d'une part : d'accord, on a le temps devant nous, le rose serait bienvenue dans une vie de fous ; d'une autre : ce n'est pas cela qui nous ramènera à nos problèmes. La vie est bâtie telle qu'elle, elle le reste et nous ne pouvons mettre de côté des choses inévitables pour avoir la belle vie, ce qui est impossible chez certains cas !

Mais, tout n'est pas noir chez ceux qui le pensent ! Songez-y, si vous êtes dans ce cas.
Il y a toujours un moment enivrant de bonheur dans la vie de tous les jours ! Les rires sur les fatécies, les petits ragots pour les envoyeurs, les cadeaux, les vacances, les choses qui font plaisir, et pleins d'autres énumérations à ça !
Mais chez certains, il n'y a pas de chance. Ils confondent Adrélanine avec Héroïne, qui n'est pas la fille Héros d'une histoire, mais une drogue bie dangeureuse, venant souvent à bout de soi si l'on force la dose... On croit que c'est pour notre bien ? Que ça va nous rendre heureux dans la vie, comme le tabac, l'alcool fort et autres supercheries ? Non.

Donc, un petit conseil : Faites ce que à quoi votre vie vous a mené, rendez-vous heureux, parlez de vos problèmes, criez ou pleurez un bon coup, tout va mieux après.

A bientôt

pitit'up

Alors. C'est très noir en effet. Ce genre de texte très terre à terre et pessimiste n'est pas ma tasse de thé mais je vais essayer de faire un commentaire objectif.
Il y a quelques fautes d'orthographe par-ci par-là, surtout des fautes de frappe, je pense, vu que c'est surtout des inversements de lettres.
Sinon, le fait de sortir du rose dans une grande parenthèse m'a un peu perturbée.
A part ça, c'est une question de goût, mais je le trouve un peu plat. Tu me diras, forcément, il n'y a pas d'action.
Et puis c'est vrai que c'est un peu court pour un commentaire bien développé.

OK Cabélyst.

Effectivement, ce ne sont que des pensées (ce qui me fait ENCORE penser que j'aurais du mettre ceci dans une partie plus adaptée), mais je me manifeste à mon goût d'une façon que certains n'apprécieront pas, bien entendu.
Mais ne t'inquiète pas, moi je préfère le rose ! ^^
Je voulais juste faire un point sur ce qui se passe réélement dans le monde.
(Empêchez-moi de me manifester sur ce qui se passe dans les autres pays, sinon je vais faire un malheur ! )

Citation :

Oui, pourquoi demander du rose ? Ces gens si heureux de vivre, dans leurs villas de bourgeois, à payer leur épouse pour qu'elles s'offrent une séance d'esthétie au faciès ? Pour qu'elles nourrissent leurs canidés luxueux de caviar ou de gâteaux à la fraise ? Ils [Le « Ils », ici, d’après la structure de ta phrase, désigne les chiens.] apportent leurs sciences, aiment exposer leurs richesses au vaste monde, et, pour les femmes, se promener dans les plus grandes rues avec leur maquillage de rattrapée et autres fantaisies... Ces gens ne sont que superficiels, ils croient que tout est rose...

___________________________________________

Mais, dans d'autres vies, avant le noir, vient... le noir. Oui, le noir des gens ni pauvres, ni riches, qui occupent leurs journées au bureau ou aux ateliers, à se casser la cervelle pour chaque jour trouver une nouvelle idée, un nouveau point...
Ces gens qui accourent aux pompes à essence avant que les prix n'augmentent encore, qui aimeraient tant offrir à leurs progénitures ce qu'ils veulent...
Qu'advient-il de ces gens-là ?
Certains croient aux miracles, qu'après la mort vient autre chose, une vie meilleure comme l'on dit.
D'autres, dès leur adolescence, s'affairent à leurs coutumières et mauvaises habitudes, dont on ne devrait pas parler aux petits enfants...
Mais certains autres encore, pensent que tout est fichu dès la maturité, dès que leur vie bascule, dès qu'arrive le chômage, le misérable salaire, l'amour, le mariage, le premier enfant, et d'autres possibilités pour chaque vie...
En un mot, c'est ce qu'ils appellent, au verbe [Tournure très bizarre] :

D-E-P-R-I-M-E-R,
ou, pour signifier le mot provocateur :

La C-R-I-S-E. [Le lien entre les deux morceaux de la phrase est très bizarre, peu clair… En plus, « ou » étant une conjonction de coordination, les deux mots coordonnés devraient plutôt avoir la même nature. Or, « déprimer » et « crise » sont de nature différente. Je ne sais pas si je suis très claire…]

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Oh, la crise ! Provocateur de désorientation dans le pays, composée de grèves, de licenciements, de chômages, de privations, d'augmentation des prix d'achat, de baisse des prix de salaire, de mauvais moyens, de bagarres, de manifestations, d'une Grande Guerre Nationale.

Mais cela ferait trop politique si j'exposais mes sentiments sur ce sujet. Revenons à notre thème.
Bref, les gens demandent du rose... d'une part : d'accord, on a le temps devant nous, le rose serait bienvenue dans une vie de fous ; d'une autre [La locution « D’autre part » serait plus appropriée] : ce n'est pas cela qui nous ramènera à nos problèmes. La vie est bâtie telle qu'elle, elle le reste et nous ne pouvons mettre de côté des choses inévitables pour avoir la belle vie, ce qui est impossible chez certains cas !

Mais, tout n'est pas noir chez ceux qui le pensent ! Songez-y, si vous êtes dans ce cas.
Il y a toujours un moment enivrant de bonheur dans la vie de tous les jours ! Les rires sur les facéties, les petits ragots pour les envoyeurs, les cadeaux, les vacances, les choses qui font plaisir, et pleins d'autres énumérations à ça !
Mais chez certains, il n'y a pas de chance. Ils confondent Adrénaline avec Héroïne, qui n'est pas la fille Héros d'une histoire, mais une drogue bien dangereuse, venant souvent à bout de soi si l'on force la dose... [L’idée de la référence à l’héroïne est pas mal, mais tu l’amènes de manière assez bancale, basique et peu claire…] On croit que c'est pour notre bien ? Que ça va nous rendre heureux dans la vie, comme le tabac, l'alcool fort et autres supercheries ? Non.

Donc, un petit conseil : Faites ce que à quoi votre vie vous a mené, rendez-vous heureux, parlez de vos problèmes, criez ou pleurez un bon coup, tout va mieux après.

A bientôt.

Orthographe et points de grammaire
Ponctuation
Syntaxe
Incompréhensible
Lourdeur


Je n'ai pas aimé, autant l'avouer. Pour une plume de ton âge, c'est très bien de réussir à développer ces idées ainsi, j'aurais adoré parvenir à ce genre de chose dès l'âge de onze ans. Mais il faut avouer que le contenu laisse à désirer...
Ce que tu racontes relève surtout d'une série de lapalissades sur le sens de la vie et la quête du bonheur. Ce que tu nous racontes là est assez banal. "Il ne faut pas tout voir en noir, il y a toujours du rose quelque part, bla bla bla..."
De plus, ton point de vue est contestable. Ce que tu qualifies de "superficialité bourgeoise" peut être perçue par certains plutôt comme une façade extérieure pailletée et joyeuse devant un univers glacial et impitoyable dont tout le monde, à l'exception de quelques minorités dépassées du monde bourgeois, sont conscients. Croire que cette strate de la société est épargnée de tous les soucis des autres (travail pénible, pénuries d'essence...) est aussi une erreur. On peut aussi s'amuser à contester le fait que crier ou pleurer un coup suffira à effacer de gros problèmes. Cependant, c'est tout à fait compréhensible qu'à ton âge, on aie du mal à traiter ce genre de choses avec du recul.
Tu as une tendance à couper tes réflexions qui divaguent de manière plutôt familière, comme ici par exemple : "Mais cela ferait trop politique si j'exposais mes sentiments sur ce sujet. Revenons à notre thème." Ça casse un peu l'effet de ton texte. Tu devrais essayer de simplifier le plus possible ces passages-là.

Enfin voilà, c'est pas mal d'écrire ce genre de texte à ton âge, donc ne baisse surtout pas les bras. ^^ Tu as du potentiel.

Merci beaucoup Mooney ^^

Pour ce moment :

Oui, pourquoi demander du rose ? Ces gens si heureux de vivre, dans leurs villas de bourgeois, à payer leur épouse pour qu'elles s'offrent une séance d'esthétie au faciès ? Pour qu'elles nourrissent leurs canidés luxueux de caviar ou de gâteaux à la fraise ? Ils [Le « Ils », ici, d’après la structure de ta phrase, désigne les chiens.]

Si, il y a le sujet de "Ils", qui est 2 lignes avant : Ces gens si heureux de vivre, ..........

J'ai fait aussi quelques petites fautes, surtout de frappe, et d'autres de tête en l'air...
Il se peut que j'ai employé des tournures, comme tu dis, bizarres, mais bon, tu peux entendre beaucoup de trucs incompréhensibles sortir des bouches de mon âge...

Arf... Je sais qu'on dit dangereuse, mais je sais pas pourquoi, j'ai tout le temps ce problème...

Eh oui, il y a certains mots que je... j'inverse, si on peut dire ça comme ça ^^ [référence à facéties et Adrénaline].

POur ceci :
Tu as une tendance à couper tes réflexions qui divaguent de manière plutôt familière, comme ici par exemple : "Mais cela ferait trop politique si j'exposais mes sentiments sur ce sujet. Revenons à notre thème." Ça casse un peu l'effet de ton texte. Tu devrais essayer de simplifier le plus possible ces passages-là.

♦Eh bien je voulais juste dire que je m'étais éloignée du sujet que je voulais débattre, c'est très très possible que ce soit mal tourné... ^^ Après, je ne peux pas convaincre des filles et garçons qui écrivent également mais qui sont plus âgés que moi ! ^^

"On peut aussi s'amuser à contester le fait que crier ou pleurer un coup suffira à effacer de gros problèmes. Cependant, c'est tout à fait compréhensible qu'à ton âge, on aie du mal à traiter ce genre de choses avec du recul."
♦En fait, ce n'est pas vraiment cela que je voulais dire, mais c'est vrai que j'aurais pu mieux expliquer ; Je voulais dire par là que quand quelque chose nous énerve, ça ne règlera pas nos problèmes de crier ou pleurer, mais juste l'on pourra se défouler de façon à évacuer un peu, mais c'est sûr que ça ne viendra pas à bout des problèmes jusqu'à les stopper ! ^^

BlueDream a écrit:

Si, il y a le sujet de "Ils", qui est 2 lignes avant : Ces gens si heureux de vivre, ..........

Le problème ne réside pas dans l'existence ou non d'un ensemble que reprend le pronom "ils", mais dans la manière dont ce pronom est amené qui, grammaticalement parlant, indique que le "ils" reprend non pas les bourgeois mais les chiens.

Mooney a écrit:

BlueDream a écrit:

Si, il y a le sujet de "Ils", qui est 2 lignes avant : Ces gens si heureux de vivre, ..........

Le problème ne réside pas dans l'existence ou non d'un ensemble que reprend le pronom "ils", mais dans la manière dont ce pronom est amené qui, grammaticalement parlant, indique que le "ils" reprend non pas les bourgeois mais les chiens.

Ah d'accord... Eh bien, ... Les chiens n'étaient qu'encadrés dans la phrase, ce n'est que l'accompagement, le petit sujet sans importance, placé... Je sais pas trop comment te dire, enfin tu vois un peu, non, quand je te dis que c'est à l'intérieur de la phrase, dominé par le premier sujet ?