La Burle

Une autre rédaction ^^
Les trucs en italique sont là pour ne pas vous perdre, aprce que il falait relier plusieurs passages d'un livre entre eux et je ne les ai pas

Dans une heure ou deux, tout serait fini. La neige m'aurait entièrement recouvert. Je serais mort, mort par asphyxie, mort lente et douloureuse, ou bien mort de froid. Le docteur Appleton ne serait plus. La Burle serait contente. C'était même sûrement elle qui s'était arrangée pour le bloquer là. Dans cette congère, dans l'impossibilité de faire quoi que ce soit d'autre que d'attendre. D'attendre de mourir. Perdu dans ces sinistres pensées, je me mit à jurer contre la Burle, contre Elle et contre les malheurs qu'Elle avait amenés.
Depuis son arrivée dans la vallée paisible, la mortalité des habitants avait triplé. Et maintnant, la Burle s'acharnait contre moi. Et pourquoi ? Parce que j'étais médecin. Et que je sauvais des vies, des vies dont elle avait tant besoin pour se dévellopper et subvenir à ses besoins. Et bientôt, Elle prendrait ma vie à moi...
Mais que faire d'autre que d'attendre une mort certaine ? Sortir dans la bise glaciale qui soufflait à l'extérieur de la voiture ? Tenter de rejoindre Montsardier malgré le blizzard ? Inutile d'y penser, j serais congeler par le vent glacial. Reser dans la voiture ? Je mourais de froid ou d'asphyxie. Triste avenir.

D'un coup de poing rageur, je frappais le volant en cuir de ma camionette. Se pouvait-il que le docteur Appleton finisse ainsi, enseveli sous la neige ? Je ne pouvais m'y résoudre. Ni y croire. Et pourtant, à moins d'un miracle, c'était bien ce qui alalit m'arriver.

Le docteur entend quelqu'un crier son nom, au pied de la colline. Le docteur st prêt à se jeter au brs de celui qui est là, en bas.

C'est alors qu'une pensée m'assailli. Et si c'était la Burle ? Et si c'était encore un de Ses subterfuges ? On pouvait s'attendre à tout avec Elle.
On continuait de m'appeller, là, en bas. Terrorisé, j'étteignis mes phares pour dissimuler ma présence et je coupais le moteur. J'étais obnubilé par la crainte d'être retrouvé par la Burle ou l'un de Ses sbires.
Plongé dans le noir, chaque ombre représentait pour moi un danger.
Là ! Ne serait-ce aps la Burle, tapie derrière ce rocher, comme un tigre se préparant à l'attaque ? Et là ? Et là ?
Soudain, la portière de ma voiture s'ouvrit dans un grincement. J'hurlais de terreur, j'imaginais déjà la burle me lacérant de ses serres..
" - Eh bien, docteur ! Qu'estce qui vous a pris d'éteindre vos phares ? On a eu un mal fou à vous retrouvez dns cette tempête ! " tonna la Burle.
Comment ça, la Burle ? Mais c'était ce brave Hercule ! De soulagement, je poufai de rire. Derrière le collosse, je pu distinguer Artur et Georges, les^plus forts bûcherons de Montsardier.
" - Que faites-vous ici ? demandais-je.
- On s'inquiétais à Montsardier, répondit Arthur. D'abord la tempête s'est levée, puis on a entendu la Burle hurler. Alors on est partis à votre recherche. "
Sans plus palabrer, nous nous attaqua$^mes tous les quatre...

.. au déblaiement de la congère, pour libérer les roues de ma camionette. Après des longues minutes d'efforts, nous parvîmes à la dégager de la neige.

Le moment décisif était arrivé. La voiture avait-elle subi les conséquences du gel ? Pourrait-elle ou non redemarre après toutes ces heures dans le froid et le vent ? Je res pirait profondément avant de pousser le frein à main.

La voiture frémit. Je passais la vitesse supérieure, inquiet. La voiture ne parvenait pas à se détacher de la neige durcie qui collait ses roues à la chaussée... C'est alors que la voiture fit un formidable bond en avant ! La neige durcie avait cédé dans un craquement asssourdissant ! Hahaha ! Nous avions réussi ! Je pouvais presque entendre la Burle hurler de colère et de frustration ! J'eu un élan de gratitude pour les trois hommes forts qui m'avaient sauvé la vie. Je leur souhaitait un bon retour à Montsardier avec chaleur.
" - Et surtout, faites attention à la Burle ! me dit l'honnête hercule en clignant de l'oeil.
- Pas de danger que je l'oublie, celle-là ! rétorquais-je. "
Sur ce, je lançai ma voiture dans la nuit, ivre du bonheur que l'on éprouve lorsque l'on a échappé à la mort.
Et la Burle ? Haha ! La Burle, elle ne me faisait pas peur ! Après tout, ce n'était qu'un démon, un vulgaire démon ! Qu'elle retourne au Diable, la Burle !

walàà.. je vais enfin pouvoir reposer mes pauvres doigts

comme d'habitude, vraiment magnifique... j'adore tes histoires... t'as une sacré imagnination... je me régale avec tes textes, un vrai bonheur

Enfin là je préviens, ya pas de suite hein
Merci beaucoup Embarassed

snif snif dommage

Bah nan, j'ai déjà une histoire en pleine re-écriture, vais pas m'muser à faire la suite d'une autre histoire.. Pis elle est pas prévue poura voir une suite.

Petit truc : dan le livre d'où sont tirés les passages qu'ondevait compléter, la Burle, c'était le vent... Razz