j'ai participé a un concours ou l'on doit ecrire une histoire fantasy. voila ce que j'ai ecrit:
A la recherche d’un père inconnu
On cherche tous quelque chose.
Capelite, une jeune licorne, galopait joyeusement dans la forêt, quand elle vit sa mère, étendue au sol. Elle s'approcha d'elle, qui murmura:
-"Des braconniers... va retrouver ton père, de l'autre coté de la foret... Il ne te ressemble pas, c’est un cerf... tu aura besoin d'amis pour y arriver... bonne chance ma fille... ma fait attention aux..."
Capelite ne sus pas à quoi elle devait faire attention, car sa mère mourut. Elle suivit la tradition, et poussa sa mère jusqu'à une rivière, dans laquelle aucun poisson n'y était, comme pour la laisser faire son deuil seule. La tradition exigeait que l'on entraine l'animal mort par la corne, mais c'était impossible, vut que les braconniers lui avaient prise. Ainsi elle retrouverait Gaia, femme du ciel, mère et créatrcice de tous les êtres, animaux et végétaux, vivant où non, de cette planète. Elle partit après s’installer près d’un saule pleureur, l’arbre des plaintes. Soudain une voix étouffée surgit de nulle part.
« -Pourquoi pleure tu mon enfant ?
-Je pleure ma mère, morte, tuée par de braconniers. répondit-elle sans savoir qui parlait.
-Je suis en haut ! »
Capelite leva les yeux et vit une chouette, les animaux les plus sages de la forêt. Elle s’inclina donc devant, mais l’oiseau eut l’air agacé :
« -hou ! Je trouve cette habitude ridicule ! Cesse donc d’attraper des torticolis, et comporte toi envers moi comme envers les autres !
-Bien madame...
-Houlisse. Je m’appelle Houlisse Plamentin. Et je pense que tu ne vas pas rester seule longtemps. Ton père n’est pas dans les parages ? »
Capelite se remit a pleurer, et raconta toute l’histoire à Houlisse, qui prit une mine désolée, puis résignée.
« -Soit. Je t’accompagnerais dans la recherche de ton père.
-Non, madame, ne vous mettez pas en danger pour moi !
-S’il y a des braconniers dans cette forêt, je suis en danger aussi. Regarde mon plumage. »
Capelite la regarda et s’aperçu que le plumage de la chouette était presque doré. Des plumes comme ça, tous les braconniers en voudraient !
Elles partirent donc à la recherche du cerf. Mais arrivés près d’une rivière, elles se couchèrent.
Capelite se leva le lendemain matin, et vit que la chouette avait disparu !
Elle partit au galop, évitant de justesse d’embrocher avec sa corne un sanglier qui passait, et trouva Houlisse par terre, inconsciente. Elle ne pouvait accepter une autre idée, aussi elle mit l’oiseau sur son dos et partit dans la direction qu’elles prenaient la veille. Elle arriva a l’orée du bois en quelques jours, en dormant sous les arbres, et en surveillant la chouette.
Elle vit alors une « Mistacles Portus » (une Portale Miracle, une plante qui guérit), l’écrasa avec son sabot, et fit sentir l’odeur à l’oiseau qui s’éveilla brusquement en toussant. Elle dit à la licorne d’une voix faible :
« Tu m’a sauvé... Merci. Mais je dois me reposer. Laisse moi ici et continue ton périple sans moi, je te retarderais. » Et elle se rendormit. Mais Capelite ne l’entendait pas de cette oreille, reprit la chouette sur son dos et repartit.
Elle vit, plus loin, un pégase qui se cachait derrière les aux arbres, [il volait] et lui demanda ce qu’il faisait. Il sursauta, manqua de s’écraser au sol, mais battit des ailes au dernier moment et se posa doucement. Il s’adoucit en voyant la licorne avec ses grands yeux tristes, mais qui pétillaient de joie à l’idée de voir un pégase. Il faut dire que dans la forêt de Selenda, ils étaient plutôt rares. Il remarqua quelque chose qui le troubla chez cette licorne. Elle n’était pas laide, loin de la, mais avait quelque chose de... différent.
Il se présenta donc :
« Salut ! Je m’appelle Pileau et je surveillais pour voir si je pouvais me montrer. Car tu es sûrement au courant que des braconniers sont dans le coin, mais ils ne m’auront pas ! Ça non !
-Je m’appelle Capelite. Je suis au courant pour les braconniers, ils ont tué ma mère. Dit-elle d’une vois triste. Et elle raconta toute l’histoire au pégase blanc.
-Oh ben ça alors ! Tu n’as pas de chance ! S’exclama t-il quand elle eut fini. Et cette chouette, c’est qui ?
-Elle s’appelle Houlisse Plamentin. Elle m’aide a retrouver mon père.
-Une licorne, mâle en plus, ça doit se retrouver facilement !
-oh ! Euh... dit Capelite d’une vois gênée. C’est un cerf.
-J’me disais aussi que tu ressemblait pas aux autres licornes ! Tes yeux... tu as des yeux de biche. Et tu sautilles plus que tu ne galopes ! Mais sinon, puis-je me joindre à vous, mesdames, pour cette expédition ? Je pourrais voler pour indiquer la direction !
-C’est vrai ? Tu voudrais bien venir avec nous ?
-Et comment ! »
Les trois amis partirent donc ensemble. Mme si Houlisse n’était pas au courant de la présence du pégase. Mais elle s’éveilla justement, car elle s’était bien reposée.
La nuit commença à tomber, et, après les présentations, décida de veiller pendant qu’ils dormiraient.
« Mais, s’exclama Capelite, tu ne dors pas toi ?
-Moi ? J’ai tellement dormi que de toute façon je n’aurai pas fermé l’œil ! Et puis, les chouettes vivent la nuit !
-Elle a raison, dit Pileau. Maintenant, on peut dormir tranquillement. Et il s’endormit comme un loir.
-Bon, je vois que je n’ai pas le choix ! Bonne nuit Hou !
-Bonne nuit Cap’. »
Et les deux équidés s’endormir sous le regard tendre de la chouette.
Ils parcourir donc le jour suivant une grande marche, quand Capelite se fit mordre par un serpent! Pileau s'écria:
"-C'est un mortae valente! un valnoire mortel! tu ne sentiras rien, mais tu...[il baissa la voix] tu mourras dans les trois prochains jours."
Cette nouvelle effraya Capelite, qui partit au galop se réfugier, comme si la mort ne la trouverais pas ici. Houlisse et Pileau mirent une demi-jounée pour la retrouver, en larmes.
"-Jveu pas mourir! Jveux pas mourir!"
Ses amis furent désolés de la voir ainsi, mais reussirent a la convaincre de revenir aavec eux, elle verrait donc quand même son pere. Ses yeux s'emplir d'espoir à ces derniers mots. Ils se trouverent un coin ou la lune pouvait veiller sur eux.
Le lendemain matin, ils s’éveillèrent à l’aube, et arrivèrent près d’une cabane, faite en bois, mais avec des fenêtres aux bords bleu, ravissante, mais dans laquelle des humains parlait fort d'une discution effrayante:
« -Ce vieux cerf tombe malade. La dernière fois que mon chien m’a fait sa, c’était que la mère de ces petits était morte ! Mais il n’y a aucun faon dans la forêt. Juste une licorne, que j’ai abattu, et je vais vendre sa corne a bon prix ! »
Capelite serra les dents mais l’autre homme éclata de rire et dit d’une voix bourrue :
« Allons ! Jack, tu ne crois quand même pas que ce cerf a un enfant
licorne ! Tu délire mon vieux ! Au fait, ce cerf, ou il est ?
-Tu le sais très bien Paul. Il est dans l’enclos près de la rivière »
Capelite n’écouta pas la suite, mais Pileau prit le devant en s’envolant.
« -Cap’ ! Cap’ ! Il est la !!! »
Capelite arriva au galop, suivie de près pas Houlisse, et trouva son père, faible mais qui résistait. Elle se rendit compte alors de sa ressemblance avec lui. Elle se précipita vers lui, et lui raconta tout avant qu’il ait compris qui était cette licorne, qui ressemblait à celle qu’il avait aimé, et qu était aussi bavarde. Quand elle eut fini, il embrassa tendrement sa fille, remercia ses amis, et vit les coups d’œil que le pégase jetait à sa fille, qui elle, libéra son père. Ils partirent tous ensemble, et rejoignirent la forêt plus vite qu’à l’aller.
A leur retour, Capelite reparla à son pere d'une voix triste de la piqûre du serpent. il lui demanda de décrire ce serpent, et elle obéit. Son père éclata de rire, ce qui la vexa.
"TOn ami n'est pas très fort en serpent! Ce genre de reptile mord quand il respecte un amimal, preuve de sa soumission. cette espèce est un Quatrae feilles, en bref un trefle a quatre feuilles. Il doit son nom à ce qui ce produit lorcequ'il mort quelqu'un: Le voeu le plus cher de cette personne se réalise! Que tu as été sotte, ma fille, d'écouter ce Pileau!"
Capelite, parla de cette remarque au pégase, qui, soudainement et
byzzarement se fit tout petit et murmura:
"-Jle savais..." Et il partit à toute allure, poursuivi par la licorne. Quelle ne fut pas la surprise des habitants de la forêt quand ils virent un pégase pourchassé par une licorne aux envies meurtières! Mais ils rirent bien vite [Cap' et Pil'] de cette mésaventure, meme si le regard noir de Capelite rappelait toujours qu'elle ne lui pardonnerais
JAMAIS complétement!
Peu de temps après, Capelite vint voir son père, lui demandant d’accorder à Pileau de l’épouser [et oui, les animaux aussi se marient !]. Il y consentit de bon cœur et on célébra deux mariage au lieu d’un : Pileau et Capelite, mais aussi Houlisse et un certain Hibuck, un hibou au plumage de bronze.
Quelques mois plus tard, dans la forêt, quelle animation ! Des petites chouettes et hiboux au plumage or, bronze et même argenté voletaient partout, et jouaient avec des licornes ailées !
FIN