1000-0 (eh oui, encore un)

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Puisque vous semblez être en mode racontage de life, je vais vous part de mon grand dilemne du moment : prépa or not prépa?

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Oui lika, sérieux !
On croise les doigts alors ! J'ai deux annales pour me préparer à l'année prochaine. Je n'ai pas encore fait toutes les questions mais j'ai déjà un petit aperçu... plus la réputation qui circule sur le forum des étudiants de l'EDL. ^^
Tu comptes faire quoi comme spé si tu arrives à y rentrer ? Mais tu as fait de la prépa, non ? Moi je vais essayer directement l'année prochaine, je ne sais vraiment pas si je vais réussir du coup !

Snoop : je pense que ça dépend de ce que tu veux faire après, si du moins tu as une idée précise. Par ce que la prépa, ça rajoute des années d'études... c'est pour ça que je vais essayer de rentrer au Louvre sans passer par là : j'ai déjà pas mal d'années, alors deux ans de prépa en plus... Sans oublier qu'il faut les payer, les années d'études. ^^

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Chiffre rond !!!

Bon, question vocabulaire : c'est quoi la PRéPA ?!

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Prépa = classes préparatoires. Ce sont des classes qui préparent aux entrées dans des grandes écoles. Il y en a des littéraires, des scientifiques, etc... Je ne saurais pas te donner une bonne définition.

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Mais... Serait-ce... un... Palindrome ! =D
Bah je sais pas trop en fait à une époque je voulais tenter l'ENS (Sylda c'est l'Ecole Normale Supérieure, qui forme les futurs profs) mais je ne sais plus trop maintenant... Ma dernière idée, c'était une fac de droit, mais je ne sais franchement pas si j'y arriverais, si ça peut m'intéresser, ...

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Et bien si j'étais toi je me renseignerais bien sur tout ça, pour comparer après et voir ce qui me tente le plus, je me demanderais ce que j'aimerais faire plus tard (pas nécessairement un métier directement, mais pour commencer : dans quel domaine, etc...), et peut-être prendre rendez-vous avec le/la conseiller/ère d'orientation.

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Syldana : la classe prépa consiste en deux années d'étude, entre le bac et l'entrée dans une grande école, qui servent principalement à préparer les étudiants aux concours d'entrée ou plus simplement à les former intellectuellement. Ce sont deux années généralement hyper intensives, où le jeune n'a plus de vie sociale et se consacre totalement à son boulot, mais le ce que l'on y apprend est passionnant (si on aime les matières of course), on y acquiert une culture générale en béton... (Et si tu veux faire l'ENS comme Snoop, la prépa est vraiment nécessaire vu la difficulté du concours). Il y en a de divers types (littéraires A/L ; littéraires B/L ; littéraires LSH ; maths ; physique ; éco...), pour tous les goûts et pour divers types de grandes écoles après. Tu verras tout ça en temps voulu.

Pourquoi ma tendance à la procrastination m'a-t-elle poussée à ne faire mes fiches de français qu'à la dernière minute ? J'ai deux fiches à faire encore pour vendredi (oral blanc de m***), et une dizaine qui se rajouteront pour l'épreuve de juin. Bon, lors de mes autres oraux blancs, ça s'était bien passé, mais je fliiiippe et je me couche tous les soirs à pas d'heure. Je vais devoir mieux gérer mon temps l'an prochain (et les années suivantes si je fais une prépa).
Bon, je m'en vais finir un livre de Sartre et cesser de poster durant encore environ un moins, pour cause de bac.

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Après avoir lu les derniers posts, je me sens petite. Toute petite et très jeune. Qui a parlé de mon âge mental ?

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Deux revenantes pour le prix d'une !!
Je crois que niveau procrastination je peux rivaliser avec toi Mooney. J'ai dû en faire 3 depuis le début de l'année, soit plusieurs dizaines à faire pour dans un mois. ^^

L'université n'est pas sensée être plus difficile que les prépas ? (vu que les prépas préparent à l'unif...) c'est une bête question hein ^^

en belgique y a moyen de faire des prépas mais c'est plutôt rare (fin me semble ^^) C'est plutôt pour ceux qui n'aurait pas choisi les bonnes options pendant le secondaire et qui voudraient combler leurs lacunes avant d'entreprendre leurs études (fin pas sure à 100% comme c'est peu courant, du moins dans ma région).
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quelles sont les différences entre grandes écoles et facs ?

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Bon, oral blanc plutôt réussi. J'écoute le dernier Gaga pour faire descendre la tension (Lady, je t'aime ♥ ). J'ai encore deux séquences et quelques à préparer pour le vrai oral : onze textes en un mois, ça devrait le faire.

Pour Da'. : )
Ce qui correspond à la prépa belge a un équivalent en France, dont le nom m'échappe (j'ai pourtant une amie qui envisage d'en faire une). Il me semble que c'est une Mise A Niveau d'Acquisitions, mais je ne suis pas sûre...

Alors, faculté et grande école...
La grande école s'accède sur concours, tandis pour la fac, c'est sur dossiers scolaires (me semble-t-il... je ne me suis guère penchée sur l'entrée à la fac puisque ma mère m'a très clairement fait comprendre qu'elle me renierait définitivement si j'y allais). Les grandes écoles sont plus sélectives, et ont généralement une meilleure réputation : en effet, alors qu'il y a, à la moindre grève, des blocages monstrueux à la faculté, les élèves de la gh continueront de travailler sagement (quand on voit le prix des écoles, on comprend pourquoi : perdre une semaine de cours signifie perdre l'argent investi, alors faire un blocage est hors de question... => Oui, la gh est chère, tandis que la fac est clairement plus abordable... Les grandes écoles de commerce sont hors de prix).
La grande école a une formation très ciblée (à l'exception de Sciences Po, qui, au bout de cinq années d'études, ne force pas réellement à un métier concret, mais plutôt à une manière de réfléchir) : on y apprend le journalisme, le commerce... En faculté, l'enseignement se fait plus par thème (droit, histoire, sciences...).
Bon, j'espère avoir été à peu près claire. ^^ Si j'ai fait des erreurs ou oublié des éléments importants, corrigez-moiii les gens.

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Palindrome.

Je ne me suis pas vraiment intéressée aux différences entre grandes écoles et fac, mais ça m'a l'air d'être plutôt ça.

Lika = oui, une idée : archéologie égyptienne.

Et pour faire des études de médecine par exemple, il y a moyen de le faire dans les grandes écoles ou dans les facs ? Y a t il des études qui se retrouvent dans les deux catégories ?

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Médecine fait partie des études qui se font exclusivement en faculté, en France. : ) Il y a sûrement des études qui se trouvent dans les deux catégories, mais je n'ai pas d'idée précise dans la tête. Après, les études en fac et les études en grande école peuvent mener à des métiers similaires (un journaliste peut avoir fait un Master en fac aussi bien qu'une école).

Pour moi, c'est clair : le journalisme ou rien. Un jour, vous verrez mon nom à la fin d'un article d'un grand journal. Après, j'hésite encore sur le chemin à prendre. Si je suis reçue à Sciences Po, je fais Sciences Po jusqu'à l'obtention du master ; sinon, ce sera sûrement deux ans de prépa, un an de fac pour obtenir une licence puis l'école de journalisme.

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Moi je vise juste le brevet pour l'instant

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Tu as encore largement le temps, Herby.

J'aimerais bien travailler dans le domaine culturel (les expositions, le cinéma, les sorties littéraires, etc) ou l'international (spécialisée dans les pays de l'Europe du Nord et de l'Est), mais, en discutant avec des journalistes et en faisant un stage, on m'a clairement fait comprendre qu'avec la crise de la presse actuelle... il ne fallait pas être trop exigeant pour éviter longues périodes de chômage, précarité financière, travail irrégulier... Et donc je compte prendre, à la sortie de l'école de journalisme, ce qui me tombe sous la main. Si je dois commencer dans un journal automobile pour avoir un contrat, alors je commencerais dans l'automobile (de toute façon, tant que je suis dans le monde du journalisme, ça me va).

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Palindrome !
Pour ma part, je ne sais même pas ce que je veux faire :S C'est horrrrrrible.

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Ne t'inquiète pas Syl' tu as encore le temps, toi aussi Loli, et toi aussi Herbou !

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Lolilola a écrit:

Mooney, la crise sera peut-être moins présente quand tu te lanceras, non ? En tout cas, tu as l'air passionnée ^^

On pourrait le croire, mais la crise qui frappe la presse est relativement indépendante de la crise économique actuelle. Donc, si je peux espérer que cette dernière soit finie à la fin de mes études (dans six ans, sept ou huit en cas de redoublement durant mes études : le redressement est tout à fait possible d'ici là), je crains néanmoins la crise de la presse : les ventes des journaux écrits sont en chute libre, principalement à cause de l'ascension d'internet (où se développe journalisme ultra-factuel et sommaire ainsi que journalisme amateur grâce aux blogs). Les journaux embauchent donc beaucoup moins, et pour des durées beaucoup plus courtes (la plupart des jeunes diplômés sont pigistes : ils sont payés à l'article ou à la journée... je ne te raconte pas la galère pour payer les factures à la fin du mois). Le monde du journalisme doit effectuer un changement radical pour s'adapter à la nouvelle ère du numérique qui s'ouvre. Et j'ignore combien de temps ce changement prendra...
Va falloir que je me trouve rapidement un mari riche.