Ma marche

Bonjour! =)
Voilà, mon premier texte sur ce forum ^^ Bon, celui-là, ça faît un bout de temps que je l'ai faît, mais je ne sais pas trop quoi en penser...
J'espère que ça vous plaira^^ Ce texte est très court...

PS: je suis une titite débutante, je préfère préciser =)

PS2: Cette version est la version améliorée, celle faîte fin 5e, la version de départ étant faîte fin 6e, si vous voulez, je peux la mêtre pour comparer Ma marche Icon_biggrin

^^

Ma marche

"Pourquoi m'as-tu fais ça? Comment oses-tu, mon amour, ma moitié, me faire autant de mal??"

J'avançais, j'avançais dans ces ruelles qui m'étaient si familières, et si inconnues à la fois. J'avançais en ligne droite, courant et marchant, avançant le plus vite possible, bousculant les limites de mon corps. J'avançais sans savoir où j'allais, je ne voyais rien, je ne sentais plus que le froid de cette soirée d'hiver, qui s'amplifiait au rythme de mes larmes.
J'avançais, je n'étais plus maître de mon corps. J'avançais tout droit, vers mon destin... Vers la mort...
"Il faut, il faut que j'avance."
Plus loin, une sensation me parcourait toute entière, je ne l'avais jamais ressentie. C'étais comme une lueur qui me guidais, un instinct profondément enfoui au fond de mon âme. Une sorte de bouée de secours dans le néant de mon chagrin.
Mais je reconnais ce pallier, c'est mon chez moi, mon cocon, ma bulle.
J'entrais donc dans ma demeure, et suivait mon coeur vers ce qui devait m'aider, ma délivrance.
Et enfin, je m'arrêtais. Je clôturais cette marche infernale, le cauchemar de ma vie.
J'ouvrais le tiroir qui contenait l'objet pour lequel j'étais venue jusqu'ici.
Je sentais sur mes doigt le froid de la lame qui me parcourait.
Puis sur mon cou, mes veines. Je n'avais plus peur, je savais bien que la mort étais plus douce, plus facile que la vie.
"Mes dernières pensées sont pour toi, malgré le mal que tu m'as faît, malgré la douleur que tu m'as infligée, je t'aimerai toujours...
Car aujourd'hui, je clôture ma vie "

Bien, pour commencer, les fautes trrès présentes dans ton texte, comme celles d'accord en genre et en nombre. J'espère qu'une correctrice va passer par là =). La phrase après le dialogue n'est pas très coerrente, tu dis que tu dois avancer. On comprend que tu dis "courant et marchant" que tu veux faire une opositions, pourtant celà se tient. Par conter le "en avançant et en reculant" n'est pas logique. Ton personnage veut aller au plus vite à sa destination, pourquoi reculer ? même s'il n'est pas dans son assiette, il ne ferait pas ce genre de chose. Avancer est un instinct dans ton texte. Et enfin, je trouve que tu ne devrais pas mettre de prénom, au lieu de "Fabrice" plutôt "Toi".
Le sujet de ton texte est courant, je pense que tu devrait dévellopé les rues qu'elle traverse et faire passer différents sentiments pour le rendre vivant et unique.

ok, je vais éditer et retravailler ça ^^

EDIT: j'ai corrigé quelques fautes, mais là je vais me coucher... je verrais tout ça demain ^^ merci =)

Bon c'est assez étrange je dois dire.
Un sujet assez banal, c'est vrai.
Je pense que ton texte manque un peu de profondeur, de développement.
Il y a un bon rythme malgré tout alors essaie de le conserver. Manque de retravail.

*flemme de développer scuse' *

Bon alors, voyons voir...
Commençons par le positif : J'aime beaucoup la première moitié de ton texte, jusqu'à

Citation :: Une sorte de bouée de secours dans le néant de mon chagrin.

On ressent ton personnage, j'en avais des frissons dans le dos, j'adore ça, on se laissait emporter dans des émotions muettes et on partageait une partie de son désespoir.
Aprsè, j'ai l'impression que tu changes de style d'écriture, ce n'est plus le même rythme, avant on était dans une bulle, on était dans la conscience de la fille, on était comme elle, entouré d'une chape de brouillard, et puis tout d'un coup, c'est net et froid, tranchand comme un poignard. Le deuxième moitié ne colle pas avec ce que tu as écrit avant, et c'est dommage.

Citation :: Mais je reconnais ce pallier, c'est mon chez moi, mon cocon, ma bulle.

Cette phrase n'a pas sa place ici, c'est le point limite entre les deux moitiés de ton texte.

Citation :: J'entrais donc dans ma demeure, et suivait mon coeur vers ce qui devait m'aider, ma délivrance

Et à partir de là, le changement est radical, comme si tu nous avais versé un seau d'eau glacée sur la tête, tu comprends ? La suite s'enchaine sans grâce, essaie de maintenir la chape de brouillard qui flotte autour de ton personnage, fait durer ton texte, la façon dont tu évoques son suicide est beaucoup trop "crue", il faudrai que tu le mentionne au dernier moment, à demi-mot, comme quand on sombre doucement dans un sommeil paisible, tu me suis ? Comme une caresse, toujours avec la brume qui assourdit le monde autour, le rend insignifiant.
J'aime beaucoup ton texte, mais il faut que tu le retravaille, je pense que tu peux vraiment en faire quelque chose de vraiment bien d'un bout à l'autre.

Merci a vous, je retravaille ça dès que j'ai fini de manger Ma marche Icon_biggrin

Le thème est assez cliché, trop facile, ça va trop vite, comme si on pouvait faire un acte pareil aussi.. légèrement. pense que tu n'es pas seulement un esprit, mais un corps. Tes personnages ont un corps, tout n'est pas spirituel, soit un peu plus prosaïque, un peu moins éthérée...
Tu tombera moins facilement dans les clichés de dépression adolescente.

Tiens donc, LN ! Ca faisait longtemps ! Comment va notre redoutable critique ? ^^
Je ne trouve pas que ça soit trop cliché. Et il n'est pas dit que se soit une dépression adolescente, plutôt une énorme déception amoureuse, nan ?
et au contraire ce n'est pas trop facile, au contraire. Raconter dans l'esprit du personnage tout au long du texte, alors qu'il ne doit pas être trop court, ce n'est pas facile, je parle d'expérience.
Bien sûr que les personnages ont un corps, mais dans l'état d'esprit de son personnage, je ne pense pas que se soit gênant d'en tenir compte un minimum, au contraire. Dans ce genre de situation, je pense qu'on ne fait pas vraiment attention au domaine corporel. Une allusion ou deux à la fin seraient évidemment les bienvenues, mais légères, et il n'en faut pas trop, sinon... et bah sinon, le style n'est plus le même, car trop physique, et je trouve qu'un style comme celui-là ne convient pas vraiment à ce genre de texte.

moi ça va, merci.

Je persiste à trouver ça trop éthéré.

Biens sûr, ça ne conviens pas à "ce genre de texte" mais c'est ce genre de texte qui ne me conviens pas. J'ai vraiment l'impression que ça tourne en rond.

Non, non, quand on est triste, on a conscience de son corps. On a conscience de soi.

C'est trop facile de faire du joli.

Quand je suis triste, je n'ai plus vraiment conscience de mon corps... enfin bref, c'est une question de point de vue, je suppose...
La suite Andsyl ?