De l'encre dans les veines
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 De l’horreur au crépuscule

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ramanaraz
plumV
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plumV
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MessageSujet: De l’horreur au crépuscule   De l’horreur au crépuscule EmptyJeu 23 Oct - 20:01

Depuis plusieurs années, très peu de larmes ont parcouru ma joue meurtrie. Des souvenirs douloureux, qui n’ont pas la force de partir.

Petit ange au lourd passé j’errais dans les sentiers de la vie comme un oiseau blessé. Les humiliations m’embrouillaient l’âme, comme une malédiction, rien n’allait dans ma triste vie. J’avais trop donné mon cœur, bourreau de mes déceptions. J’ai mûri et grandi dans l’enfer d’une vie inchangeable. Les yeux voilés de tristesse, je marchais sur de la braise aussi brûlante et blessante que les coups. Le cœur serré et les larmes au fond de la gorge, je subissais, recevais. Le dégoût de moi-même et le manque d’assurance envahissait tout mon être. Aucune échappatoire, prisonnières de mes propres sentiments j’ai appris a ne plus faire confiance.
Une histoire tragique, une via chaotique, un cœur de pierre, voilà le résultat de toutes ces années de souffrance. Comment décrire ce sentiment d’espoir ? Si fort qu’il s’imprègne dans chaque partie de mon corps. J’espère, encore, toujours, pouvoir chasser mes mauvais démons. Je n’étais qu’une petite poupée de porcelaine, trop fragile et vulnérable en manque d’amour et de tendresse. Je vivais dans la peur continuelle de l’abandon. J’ai été maltraitée par les êtres les plus chers a mes yeux. J’étais perdue entre le pardon et la haine. Comment faire quand on rêve d’amour inexistant ? J’avais six ans tout frais, dans mes yeux d’enfant battu n y lisait que des sentiments déchus. Aucune once d’innocence, aucun rire, aucune joie de vivre.
La solitude était ma seule amie, toujours a mes côtés. Mon cœur était si triste de voir les autres enfants, si souriant, débordant de gaieté, se faire câliner et embrasser par leurs parents. Pourquoi n’avais-je pas le droit au bonheur ? Sa avait l’air tellement beau. J’enregistrais tout leurs sourires, espérant toujours plus fort qu’un jour mes parents m’offrons les mêmes. J’ai toujours cru aux miracles vous savez. L’illusion ma tuer.
C’est tellement dur d’être cacher dans l’ignorance. De ne jamais avoir reçut une marque d’affection, de ne s’être jamais sentit aimer. De continuer à grandir, sous les injures et les blessures .A l’adolescence, ce fut encore plus dur. Je passais mon temps à rêver, je m’évadais aux limites de la liberté. Mon âme était en pleine incandescence. Je me suis souvent demander pourquoi mes parents m’avaient il donner la vie ? En me l’offrant, ils m’avaient en partie donné la mort. Dans mon cœur s’emmêlaient un milliers de sentiments désolant. L’amertume se noyer avec le dégout, la haine avec la rage, la tristesse avec la douleur. Une grande bouillie de misère s’installer en moi sans que je ne puisse rien y faire. Je ne contrôlant plus rien, les larmes coulaient a flots, je criais, j’hurler mon désespoir. J’hurler avec le cœur, avec mes tripes. Le silence avait toujours l’air présent, alors que j’entendais l’écho de ma souffrance.
Ma triste vie de misère a fini par me quitter. Le jour de ma majorité, j’ai disparu, aussi discrète que la nuit. Mon parcours n’a pas été facile, je suis tombé là ou je m’étais promis de ne pas craquer. Beaucoup trop de vérités que je n’arrivais pas à supporter. Mon seul réconfort était que même les coups bas de la vie ne pouvaient m’empêcher de rêver.
J’ai imaginé dans un soleil de printemps, une douce maison de couleur blanchâtre, respirant le bien être et l’amour. Des enfants, tellement beaux, des sourires, des rires, du bonheur. Un bel homme consacré a sa famille, respectueux et sincère.
Je ne savais pas que les rêves se réalisaient.
Un jour, un jeune homme au regard de tendresse s’est approché de moi, tout doucement. Ses yeux trahissaient sa peur, peur de me brusquer peut-être. Il a relevé de ses douces mains mon visage, fixant de ses beaux eux noisette les miens. Sans un mot, il a approché ses lèvres rose près des miennes, et dans un geste d’amour il ma embrassé.

-Sèche ces larmes de tristesses, ne pense à rien d’autre qu’a nous deux, fait parler ton cœur. S’il te plaît, ne pensons qu’à nous aimer.

J’ai mis beaucoup de temps à lui offrir ma confiance et à dévoiler mon amour. Jamais je n’ai su d’où venait ce jeune inconnu, devenu mon mari. J’ai eu peur de souffrir encore, d’être déçue d’avoir accordé mes sentiments trop tôt.
« J’ai rêvé d’un idéal, je l’ai prié, guetté, appelé, puis le jour ou il s’est dessiné, j’ai découvert la peur de le vivre, celle de ne pas être a la hauteur de mes propres rêves, celle encore de les marier à une réalité dont je devenais responsable. »

Mais bien vite l’amour a prit le dessus. Ca a été la plus belle journée de ma vie cette déclaration d’amour, c’était ma première.

-J’ai un problème, je crois que je t’aime. Est-ce une erreur ?
-Je crois qu’on est deux alors à avoir ce problème, et bien si c’est une erreur nous la vivrons ensemble, m’a-t’il répondu, dans un sourire sincère.
-J’ai peur, tu sais.
-Oui je sais, n’oublie jamais que je suis fou de toi, et que jamais je ne te ferai de mal. Tu es ma vie, mon ange, mon soleil, ma drogue a moi tout seul. Calme ton cœur gros ma belle, l’amour est vainqueur de tout.

Une belle réalité, à laquelle je continue de m’accroché.

« J’ai vécut, j’ai souffert, j’ai aimé, mais j’ai vaincu mes peurs, mes travers, et je me suis réalisée… »
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ramanaraz
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MessageSujet: pas mon genre mais...   De l’horreur au crépuscule EmptyJeu 23 Oct - 20:19

au départ donc, ce n'est pas mon genre. Ni pour l'écriture, ni pour la lecture. Là cela se lit assez facilement.
J'ai un petit problème avec "l'équilibre" de ta nouvelle que je vais essayer d'expliquer. La nouvelle en général traite de peu de personnages (c'est le cas) dans une situation claire et simple (c'est encore le cas). Le problème que j'ai c'est que tout tourne sur le passé de ton personnage alors que ce qui devrait primer c'est l'événement présent. Ensuite bien entendu tu distilles des flash backs pour expliquer par exemple les hésitation de la demoiselle. Cela te donnerait beaucoup plus de rythme il me semble. Je ne sais pas si je me suis bien fait comprendre, je ne suis malheureusement pas un grand technicien (mais j'y travaille).

Sinon, donc j'ai apprécié, je ne me souviens pas avoir écrit quelque chose de si mur et si abouti à ton âge (mais ça commence à remonter lol! ).

bonne continuation : à te relire
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Arty
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Arty


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MessageSujet: Re: De l’horreur au crépuscule   De l’horreur au crépuscule EmptyJeu 23 Oct - 20:38

Merci pour avoir posté un nouveau texte, mais la prochaine fois n'oublie pas de signaler ton post dans l'annuaire Wink Merci!
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Innocence
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Innocence


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MessageSujet: Re: De l’horreur au crépuscule   De l’horreur au crépuscule EmptyJeu 23 Oct - 20:49

J'ai bien aimé le thème en général, mais je le trouve peut-être sous-traité, et, comme ramanaraz l'a dit, je pense que le plus gros souci, c'est l'équilibre. Le bloc de douleur est énorme, et celui de bonheur tout petit à côté...

J'ai une autre critique (vilaine fille) sur le style. Au début, on voit de belles phrases, un peu artificielles tant tu multiplies les figures stylistiques, mais qui ne font pas lourdes pour autant, et au fur et à mesure, le style s'éclaircit et s'allège. On aurait pu penser que c'était fait exprès, pour exprimer le fait que peu à peu, ton personnage se libère de ce poids de souffrance, mais... Le fait qu'on retrouve, encore après, au détour d'une phrase, ce genre de tournure... C'est mon esprit d'analyse littéraire qui parle, je vais peut-être chercher un peu trop loin...

Sinon, je trouve que globalement, c'est un très beau texte, traité avec, comme disait ramanaraz encore une fois, beaucoup de maturité par rapport à ce qui semble être ton âge. Et, toujours basé sur cet âge, le style n'est pas mauvais. Juste, dans le contexte général, le personnage aux parents morts et qui souffre encore et encore fait un peu cliché, mais on le pardonne facilement avec la façon dont c'est traité.

Je suis très critique et j'ai toujours quelque chose à dire donc... Bon valà. Bonne continuation, je continuerai à te lire ^^
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NightEyes
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MessageSujet: Re: De l’horreur au crépuscule   De l’horreur au crépuscule EmptyJeu 23 Oct - 21:13

Au même âge que moi tu écris ça ? Bravo.
Mais fais attention à bien te relire, tu fais beaucoup de fautes que l'on est plus sensé faire à 13 ans.
Je cite :
"Je criais, j’hurlais mon désespoir. J’hurlais avec le cœur."

Et comme le dit Innocence, le début est très bien, très agréable à lire, mais à la fin on pourrait penser que tu étais pressée d'en finir avec ta nouvelle et que bâcle ton travail.
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plumV
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MessageSujet: Merci   De l’horreur au crépuscule EmptySam 25 Oct - 0:45

Merci pour les conseils, les critiques.
J'avoue que moi j'ai un gros problème par rapport a sa, c'est que au début jsuis super inspire, j'peut avoir de l'imagination pendant une semaine et après c'est plat pendant parfois 3 mois.


Oui je sais désolée pour les fautes d'orthographes ( si il y en a ) mais je ne sais pas conjuguer mes verbes, a part au présent.
Chacun ses dificultés hein ^^

A part sa, je suis vraiment désolée mais je ne vais pas pouvoir retourner sur ce site avent un long moment je déménage et le temps du démenagement ,plus le temps pour réinstaller internet ect enfin voila quoi ^^

Bisous
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Jaina
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Jaina


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MessageSujet: Re: De l’horreur au crépuscule   De l’horreur au crépuscule EmptyDim 2 Nov - 5:25

rouge = orthographe/grammaire
jaune/orange = répétition
black = synthaxe
bleu = expression/style




plumV a écrit:
Depuis plusieurs années, très peu de larmes ont parcouru ma joue meurtrie. Des souvenirs douloureux, qui n’ont pas la force de partir.

Petit ange au lourd passé j’errais dans les sentiers de la vie comme un oiseau blessé. Les humiliations m’embrouillaient l’âme, comme une malédiction, rien n’allait dans ma triste vie. J’avais trop donné mon cœur, bourreau de mes déceptions. J’ai mûri et grandi dans l’enfer d’une vie inchangeable. Les yeux voilés de tristesse, je marchais sur de la braise aussi brûlante et blessante que les coups. Le cœur serré et les larmes au fond de la gorge, je subissais, recevais. Le dégoût de moi-même et le manque d’assurance envahissait tout mon être. Aucune échappatoire, prisonnières de mes propres sentiments j’ai appris a ne plus faire confiance.
Une histoire tragique, une via chaotique, un cœur de pierre, voilà le résultat de toutes ces années de souffrance. Comment décrire ce sentiment d’espoir ? Si fort qu’il s’imprègne dans chaque partie de mon corps. J’espère, encore, toujours, pouvoir chasser mes mauvais démons. Je n’étais qu’une petite poupée de porcelaine, trop fragile et vulnérable en manque d’amour et de tendresse. Je vivais dans la peur continuelle de l’abandon. J’ai été maltraitée par les êtres les plus chers a mes yeux. J’étais perdue entre le pardon et la haine. Comment faire quand on rêve d’amour inexistant ? J’avais six ans tout frais, dans mes yeux d’enfant battu n(') y lisait que des sentiments déchus. Aucune once d’innocence, aucun rire, aucune joie de vivre.
La solitude était ma seule amie, toujours a mes côtés. Mon cœur était si triste de voir les autres enfants, si souriant, débordant de gaieté, se faire câliner et embrasser par leurs parents. Pourquoi n’avais-je pas le droit au bonheur ? Sa avait l’air tellement beau. J’enregistrais tout leurs sourires, espérant toujours plus fort qu’un jour mes parents m’offrons (concordance de tps ??)les mêmes. J’ai toujours cru aux miracles vous savez. L’illusion ma tuer.
C’est tellement dur d’être cacher dans l’ignorance. De ne jamais avoir reçut une marque d’affection, de ne s’être jamais sentit aimer. De continuer à grandir, sous les injures et les blessures .A l’adolescence, ce fut encore plus dur. Je passais mon temps à rêver, je m’évadais aux limites de la liberté. Mon âme était en pleine incandescence. Je me suis souvent demander pourquoi mes parents m’avaient(-)il donner la vie ? En me l’offrant, ils m’avaient en partie donné la mort. Dans mon cœur s’emmêlaient un milliers de sentiments désolant. L’amertume se noyer avec le dégout, la haine avec la rage, la tristesse avec la douleur. Une grande bouillie de misère s’installer en moi sans que je ne puisse rien y faire. Je ne contrôlant plus rien, les larmes coulaient a flots, je criais, j’hurler mon désespoir. J’hurler avec le cœur, avec mes tripes. Le silence avait toujours l’air présent, alors que j’entendais l’écho de ma souffrance.
Ma triste vie de misère a fini par me quitter. Le jour de ma majorité, j’ai disparu, aussi discrète que la nuit. Mon parcours n’a pas été facile, je suis tombé là ou je m’étais promis de ne pas craquer. Beaucoup trop de vérités que je n’arrivais pas à supporter. Mon seul réconfort était que même les coups bas de la vie ne pouvaient m’empêcher de rêver.
J’ai imaginé dans un soleil de printemps, une douce maison de couleur blanchâtre, respirant le bien être et l’amour. Des enfants, tellement beaux, des sourires, des rires, du bonheur. Un bel homme consacré a sa famille, respectueux et sincère.
Je ne savais pas que les rêves se réalisaient.
Un jour, un jeune homme au regard de tendresse(s ?) s’est approché de moi, tout doucement. Ses yeux trahissaient sa peur, peur de me brusquer peut-être. Il a relevé de ses douces mains mon visage, fixant de ses beaux eux noisette les miens. Sans un mot, il a approché ses lèvres rose près des miennes, et dans un geste d’amour il ma embrassé(e??).

-Sèche ces larmes de tristesses, ne pense à rien d’autre qu’a nous deux, fait parler ton cœur. S’il te plaît, ne pensons qu’à nous aimer.

J’ai mis beaucoup de temps à lui offrir ma confiance et à dévoiler mon amour. Jamais je n’ai su d’où venait ce jeune inconnu, devenu mon mari. J’ai eu peur de souffrir encore, d’être déçue d’avoir accordé mes sentiments trop tôt.
« J’ai rêvé d’un idéal, je l’ai prié, guetté, appelé, puis le jour ou il s’est dessiné, j’ai découvert la peur de le vivre, celle de ne pas être a la hauteur de mes propres rêves, celle encore de les marier à une réalité dont je devenais responsable. »

Mais bien vite l’amour a prit le dessus. Ca a été la plus belle journée de ma vie cette déclaration d’amour, c’était ma première.

-J’ai un problème, je crois que je t’aime. Est-ce une erreur ?
-Je crois qu’on est deux alors à avoir ce problème, et bien si c’est une erreur nous la vivrons ensemble, m’a-t’il répondu, dans un sourire sincère.
-J’ai peur, tu sais.
-Oui je sais, n’oublie jamais que je suis fou de toi, et que jamais je ne te ferai de mal. Tu es ma vie, mon ange, mon soleil, ma drogue a moi tout seul. Calme ton cœur gros ma belle, l’amour est vainqueur de tout.

Une belle réalité, à laquelle je continue de m’accroché.

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